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 Eros et Thanatos

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Philippe W
Poète
Philippe W

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MessageSujet: Eros et Thanatos   Eros et Thanatos EmptyLun 25 Fév - 16:33

Eros et Thanatos



Le soleil de mai distillait des perles de chaleur sur la foule amassée en contrebas, là, dans le cimetière du Père-Lachaise. De temps en temps, comme un murmure de réconfort au creux de l’oreille des proches et de la famille, une brise légère dansait comme pour mieux égayer la litanie sirupeuse du prélat. Quelques hommes en costumes noirs et cravates blanches se détachèrent bientôt de la troupe pleurante et se dirigèrent discrètement vers l’arrière où un arbre centenaire semblait les inviter à se protéger sous ses feuilles naissantes.

─ Lente et douloureuse a été la mort de Richard ; lent et douloureux est le sermon du curé, dit le Docteur Maximilien en rompant le silence du petit groupe qui venait de prendre place près des racines de l’arbre.

─ Pour Richard, cet athée convaincu qui aimait avant tout le silence, c’est un paradoxe qu’il aurait su apprécier, surenchérit le Docteur Vermont.

─ Il aurait surtout apprécié de se joindre à nous et regarder de manière philosophique son propre enterrement, ajouta le Docteur Palence.

─ Quoi qu’il en soit, s’exclama Maximilien, sa mort me semble moins intéressante que sa façon de mourir.

─ Sur ce point-là, je te rejoins, lui répondit Palence. Mourir est une chose, mais le faire sur le corps de sa femme, en pleine extase, me semble être le summum du raffinement.

Ce fut à ce moment que le quatrième larron de l’affaire, qui s’était tu jusqu’à présent en écoutant ses confrères tout en caressant sa barbichette grisonnante, se mit à rire à pleins poumons avant de prononcer ces quelques paroles :

─ L’amour et la mort s’avèrent être deux thèmes que j’ai toujours appréciés et qui me semblent intrinsèquement liés. D’ailleurs, cela me fait songer au récit que m’avait fait l’un de mes patients, à la clinique Saint-Judas où j’exerçais il y a quelques années. Souhaitez-vous que je vous raconte son histoire ?

─ Avec plaisir ! répondirent de concert les trois psychiatres.

─ Parfait, dit le Docteur Furde, après avoir à nouveau caressé sa barbichette. Laissez-moi sortir de ma poche sa confession que j’ai pris le soin d’apporter en prévision d’un moment d’ennui lors de l’enterrement. Il s’agit de ses propres mots, sans aucun ajout. Voici ce qu’il a écrit :

Je me nomme Alexandre de Beaumont et rédige ces quelques lignes en espérant que celui ou celle qui me lira pourra faire abstraction de ses préjugés moraux afin de me comprendre. Ce que je fis ne mérite aucun jugement, juste une larme pour faire miroiter toute la souffrance qui m’accabla ces derniers mois et qui furent la cause de mon geste si décrié aujourd’hui. Mais revenons-en à l’affaire qui nous concerne.

Mon enfance fut marquée par le sceau délicat de la tendresse parentale et du confort matériel. Issu d’une famille noble, héritier d’une fortune conséquente qui fit de moi un rentier à la mort de mon père et de ma mère, je disposais de tous les biens nécessaires pour assurer mon bonheur. Certes la mort de mes parents m’affecta, à la fin de l’adolescence, mais ce fut justement à ce moment précis que je rencontrai Léonore.

Léonore… Sept lettres gravées dans mon cœur ; des syllabes à chanter ; un nom qui, encore aujourd’hui, fait frissonner tout mon être. J’avais à peine dix-sept ans, baigné dans le deuil qui me touchait, lorsque je fis sa connaissance. Elle était fille de ma gouvernante, avait cependant vécu avec son père à des centaines de kilomètres de là jusqu’à ce moment. Elle s’installa dans la mansarde juste au-dessus de ma chambre.

L’âme d’un adolescent est sujette aux passions les plus vives, surtout quand celles-ci se trouvent environnées d’un vide. Justement, l’absence de mes parents, l’espace gigantesque de ma demeure, le silence monacal dans lequel je passais mes soirées engendrèrent une fragilité émotionnel qui provoqua une explosion en mon for intérieur lorsque je la vis la première fois. Sa silhouette filiforme, presque décharnée, me fit songer à une sculpture de maître, sa longue chevelure de paille coulait sur sa nuque puis sur son dos en ressemblait à une cascade érotique qui se serait déversée sur ses reins, plats, aguicheurs selon mes sens, qui ne demandaient que deux mains aimantes pour se poser sur eux. Sa poitrine maigrelette me remémorait ces deux petits monts, au cœur des Indes, que les peuplades locales considèrent comme des symboles maternels divins. Quant à ses jambes, elles me rappelaient – je ne sais pourquoi ! – celles de ma mère lorsqu’enfant, je rentrais subrepticement dans sa chambre et voyait mon père les caresser de ses mains rouges. En plus de cela, son visage possédait un éclat très pâle, presque diaphane, qui pouvait laisser à suggérer qu’elle se trouvait dans un état entre la vie et la mort. J’en fus ébloui.

Nuit après nuit, j’entendais Léonore marcher à petits pas dans la mansarde au-dessus de ma chambre à coucher et, je dois bien le reconnaître, ces bruits formaient une rythmique dans mes oreilles, quelque chose d’endiablé et de passionnant. Je nourris peu à peu des fantasmes puissants vis-à-vis de cette jeune femme, au point de m’envoler vers les cieux aphrodisiaques de l’onanisme. Cela durait des heures, des heures de charme qui bâtirent en moi un univers de jouissance indescriptible que je n’avais jusqu’à ce moment jamais connu.

Un regard jeté dans le sien à la descente des escaliers, un mot léger susurré au creux de l’oreille à la porte d’entrée du manoir, une caresse légère réalisée à son retour des courses dans la cuisine ; des petits riens qui faisaient un tout, un tout d’harmonie entre deux inconnus, un tout de passion naissante qui grandissait jour après jour, un tout de volupté inoubliable. Je l’invitai une fois à boire un verre dans la bibliothèque des Lumières, je discutai une autre fois avec elle au seuil de ma porte, je finis par la rejoindre dans sa chambre…

Les semaines défilèrent sans que nous ne vissions le temps passer, tout juste nous rendions-nous compte que le soleil laissait place aux nuages et que la chaleur cédait du terrain sur la froidure. Peu nous importait la saison puisqu’au fond de nous, nous savions bien que notre amour était éternel.

A ce moment de mon récit, je dois reconnaître qu’il me faut changer de point de vue. Non pas que je sois dans le faux en écrivant ces quelques mots, mais il me faut dire que vous faire comprendre ce que pensait et ressentait Léonore est un point essentiel. Car, voyez-vous, l’amour d’un homme pour une femme ne prend toute son ampleur que si cet amour est réciproque. Qu’en était-il donc de ma bien-aimée ?

Elle me le confia une nuit, après que nous ayons eu fait l’amour. Dès qu’elle m’avait vu, un sentiment profond avait jailli en elle, ce je ne sais quoi d’inexplicable qui vous donne une certitude sans qu’il n’y ait la présence d’aucun fait matériel. Elle avait apprécié ma présence, mes mots, mes mains dans les siennes. Lorsque nous fîmes l’amour la première fois (ce n’était pas sa première expérience, loin de là), elle avait ressenti un plaisir qui dépassait l’ordre physique ; en fait, c’était un mystère spirituel, comme si deux âmes égarées s’étaient retrouvées après des siècles d’errance. Elle m’aimait. Un peu plus chaque jour.

Nous ne reconnaissions pas l’autorité de l’église ni celle de la république, et ce fut à minuit, le premier jour de l’année, que nous échangeâmes nos alliances devant aucun témoin sinon l’œil attendri de l’amour. Nous étions unis, à tout jamais, sans preuve matérielle. C’était un lien ineffable qui nous serrait l’un contre l’autre, quelque chose en relation avec l’Invisible. Nous passâmes une nuit rougeoyante que nous aurions aimé voir durer pour toujours. Nous nous endormîmes sous le nappage de l’aube qui nous berça de sa magie surréaliste.
L’avenir nous était ouvert pleinement. C’était un horizon de bonheur à perte de vue. Et pourtant…

Comment continuer à écrire alors que les larmes me montent aux yeux ? Il le faut bien cependant, car mon cauchemar débute maintenant.

L’horloge sonna midi. Je me réveillai. L’âtre diffusait encore un soupçon de chaleur dans ma chambre, mais je ressentis comme un froid pétrifiant sur ma peau. Je ne compris pas immédiatement. Je levai la tête et vis qu’il faisait un jour magnifique. Je me mis à sourire, un sourire qui se posa sur le visage de mon amour éternel. Cependant, une chose étrange se passa : le minois adoré qui reposait sur l’oreiller semblait voilé par une gaze légère et mystérieuse. Qu’était-ce ? Je glissai ma main sur sa joue et me rendit compte que le contact en était froid, presque glacial. Cela ne m’inquiéta pas, au contraire, j’y pris presque du plaisir. Je me mis à susurrer des mots doux à son oreille, elle n’esquissa cependant ni le moindre geste ni le moindre murmure de satisfaction. Je m’en étonnai. Je la hélai cette fois, aucune réponse ne me vint ; je la secouai vivement, elle demeura pétrifié. Cette fois, je compris que quelque chose d’anormal se produisait. Je la retournai en face de moi et hurlai à pleins poumons son prénom. Rien, toujours rien. Ce fut à ce moment que je compris.

Ensuite… Tout se passa très vite, comme dans un songe que j’eusse fait à demi-éveillé. La sirène de l’ambulance. Les hommes en blanc. Les appareils qui clignotaient. Et ce silence tout d’un coup.

Après… On me dit bien des choses qui passèrent au-dessus de moi. Nulle explication, nul réconfort n’eût pu adoucir cette souffrance atroce qui m’enveloppait, m’enserrait au point que j’en étouffasse. Et bien après que le silence et le vide se firent autour de moi, je demeurai prostré en recassant les cinq seuls mots que j’avais perçus lorsqu’on m’avait parlé : probablement une rupture d’anévrisme. Une rupture nette et sèche qui créa une faille abyssale entre mon aimée et moi-même, entre la réalité des autres et la mienne.

La solitude est un abandon sans limites, tel un puits où n’aurait subsisté qu’une ultime goutte d’eau s’asséchant de secondes en secondes. Perdu dans mon no man’s land psychique je ne fis qu’entrevoir une foule enténébrée au centre de laquelle se trouvait un cercueil qui, lentement, très lentement, descendit au plus profond de la fosse. La foule s’éclaircit peu à peu tout en défilant devant moi et en me murmurant une sympathie dont je me fichais éperdument. Bientôt je me retrouvai seul ou presque seul puisque Germain, le majordome de la demeure, s’occupait à combler le trou par une terre qui était devenue grasse à force de se gaver de la fine pluie qui tombait depuis un certain temps. Une fois son travail achevé, il me dit tout bas que, dans mon malheur, j’avais de la chance qu’on m’eût accordé la faveur de voir enterrée ma bien-aimée chez moi, dans ce parc verdoyant, au lieu du vague et banal cimetière aux abords du village.

A ce stade de cette histoire, j’en imagine certain qui versent une larme sur mon malheur ; j’appréhende leurs sentiments quand ils connaitront la suite…

C’est étrange de constater que pour une âme en peine, le temps ne jouit plus de la même consistance en ce sens qu’il semble s’écouler sans bruit, presque sans exister vraiment. J’ignore donc combien de temps je restai prostré dans mon deuil en n’effectuant les gestes quotidiens qu’en mode automatique, sans que j’eusse eu la moindre perception de ce qui m’entourait.

Ma peine était immense et le soleil brillait, le silence de mon Amour m’accablait et les oiseaux gazouillaient en voltigeant de branche en branche, l’herbe poussait vite dans sa verdoyance juvénile et je m’effondrais de plus en plus dans l’abîme de ma souffrance. Soudain, un éclair me fit immerger de l’océan noirâtre, une idée qui s’imposa en nécessité absolue. Je me levai, sous le regard étonné du majordome et de la gouvernante, sortis de la pièce où je me trouvais et me dirigeai alertement vers la remise où je pris une pelle et une hache. Je courus aussi vite que je pus.

Cela me prit bien une heure, encore que je n’écrive cela qu’en ayant conscience que le temps ne signifiait plus rien pour moi. Un choc. Et mes mains lâchèrent la pelle et se mirent à gratter la terre de manière frénétique. Bientôt j’eus découvert toute la surface supérieure du cercueil. La hache brisa, déchiqueta la peau de bois à moitié pourrie de telle sorte que je vis très vite le linceul troué qui recouvrait ma bien aimée lovée dans son écrin érotique rougeoyant. Tel un souffle léger, le linceul fut retiré et je me mis à la regarder, elle, passivement pendant ce qui me sembla durer une vie. Au loin, j’entendais les cris de la mère de Léonore et de Germain qui, du seuil de la porte, semblaient me dire de revenir. Mais j’étais déjà parti… loin, très loin, plus loin que ce que peut imaginer l’esprit commun.

Je me dévêtis entièrement puis tentai vainement de déshabiller Léonore dont les membres figés refusaient de se mouvoir si ce n’est qu’un tant soit peu. Peu m’importa : je déchirai sa robe de deuil et me jetai sur elle. Un second éclair me frappa et me rendit ma virilité dont je me servis immédiatement. Au loin les cris s’approchaient de moi physiquement, psychiquement ils s’en éloignaient de plus en plus.

Je l’avais aimé, je l’aimais et je l’aimai dans ce flot d’odeurs de putréfaction qui m’excitait de plus en plus. Tous mes sens en alerte vibraient sous l’évanescence de cet acte d’amour qui, je m’en rendais bien compte, lui avait redonné vie. Déjà ses bras décharnés m’enlaçaient, ses mains osseuses me caressaient, ses lèvres en décomposition m’embrassaient, ses murmures de l’au-delà se faisaient gémissements aphrodisiaques.

Il y eut un choc. Puis ce fut le noir.

J’ouvris les yeux au beau milieu d’une salle blanchie à la chaux où la faible lumière d’une fenêtre grillagée laissait se transfuser une poussière de lumière reposante. Je me sentais calme, si calme. Un homme me regardait fixement, je lui souris. Il répondit à mon sourire par une salutation. Il dit se nommer Furde, le Docteur Furde, qu’il allait prendre soin de moi et que je guérirai tantôt. Je ne comprenais pas car je ne me sentais nullement malade. Mais je ne pouvais que m’astreindre à l’écouter tant son verbe était lent et mélodieux.

Nous parlâmes des heures, des jours et des mois. Et, peu à peu, la sérénité qui s’était faite dans mon esprit se mua en confusion – c’est le travail de réalité qui se fait, m’expliqua Furde. D’ailleurs, c’est vrai, la réalité se forgea dans mon esprit et les souvenirs de ma journée d’amour avec Léonore se transformèrent peu à peu d’un rêve en un cauchemar. Je compris mon erreur, ma folie. C’est pourquoi, aujourd’hui, comme une forme de thérapie par la communication, j’écris ces quelques mots en espérant qu’une oreille amie saura m’écouter et, surtout, me comprendre. Pour ma part, je me sens dans un état de béatitude totale en rédigeant ces quelques lignes et nulle envie de réitérer mon geste ne vient à mon esprit. Cela est-il dû à ces cachets rouges qu’on m’administre trois fois par jour ? Je l’ignore. Quoi qu’il en soit, je crois avoir trouvé le chemin du salut.

Merci de m’avoir lu.


─ Il va de soi que seule une castration chimique pouvait résoudre ce problème d’inadéquation avec la réalité sexuelle. Le traitement sévère que je fis subir ─ et fais toujours subir ─ à mon patient lui a permis de renouer avec ce que j’appelle le « concret existentiel ». Je pense d’ailleurs, poursuivis le Docteur Furde, que ce jeune homme continuera à prendre le même traitement tout au long de sa vie, ce qui garantit une stabilité de son état psychique et émotionnel sur le long terme.

─ Vous avez parfaitement bien agi Furde, dit alors le Docteur Palence. Mais, dîtes-moi, l’écho de cette histoire ne fait pas ressurgir en vous le profond deuil qui vous affecte. Je parle bien-entendu du récent décès de votre charmante et douce épouse ?

A ces mots, il y eut un silence de mort. Long, très long… Brusquement, toute l’assemblée doctoressante entourant Furde se mit à rire à gorge déployée : ce dernier, songeur, souriait largement tout en ayant une érection qui marquait nettement son pantalon.

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lutece
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lutece

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MessageSujet: Re: Eros et Thanatos   Eros et Thanatos EmptyMer 27 Fév - 17:04

...Un vrai plaisir de retrouver tes mots et ton imagination débordante. J'aime! J\'aime !
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Philippe W
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MessageSujet: Re: Eros et Thanatos   Eros et Thanatos EmptyMer 27 Fév - 18:09

lutece a écrit:
...Un vrai plaisir de retrouver tes mots et ton imagination débordante. J'aime! J\'aime !
Merci, tu es très gentille. J'espère pouvoir partager d'autres textes à l'avenir avec vous tous.
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Karoloth
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Karoloth

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MessageSujet: Re: Eros et Thanatos   Eros et Thanatos EmptyMar 5 Mar - 10:16

Formidable ! L'histoire est étrange, tout à fait glauque et tellement bien écrite. On y plonge comme dans un conte fantastique de Maupassant même si je trouve la chute assez lourde par rapport à ce qui la précède. Ce n'est que mon sentiment. Quoi qu'il en soit, merci pour cet excellent moment de lecture. You are the best
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Philippe W
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MessageSujet: Re: Eros et Thanatos   Eros et Thanatos EmptyMar 5 Mar - 13:53

Merci, tu es gentille. En effet Maupassant m'a entre autres inspiré pour cette nouvelle. JE suis en train d'en écrire une autre tout à fait différente. Je la présenterai sur le site dans une poignée de jours.

A bientôt
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Damona Morrigan
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Damona Morrigan

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MessageSujet: Re: Eros et Thanatos   Eros et Thanatos EmptyMar 19 Mar - 11:19

Je retrouve le conteur d'histoire, sa narration limpide, ses descriptions précises et son récit toujours aussi captivant et débordant d'imagination. Merci pour ce bon moment de lecture.
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Philippe W
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MessageSujet: Re: Eros et Thanatos   Eros et Thanatos EmptyJeu 21 Mar - 18:33

damona morrigan a écrit:
Je retrouve le conteur d'histoire, sa narration limpide, ses descriptions précises et son récit toujours aussi captivant et débordant d'imagination. Merci pour ce bon moment de lecture.

C'est toujours un plaisir de partager mes textes avec toi et tous les autres personnes qui fréquentent ce site. J'espère que tes problèmes se résolvent. Bisous
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MessageSujet: Re: Eros et Thanatos   Eros et Thanatos Empty

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