Dame Demeter, j'accueillerai tous les mots qu'ils soient noirs, gris, blancs ou rouges... Le refuge est là pour ça. Tu n'as rien à te faire pardonner. Ce qui est important c'est que les poètes se sentent bien, qu'ils se sentent libres, et surtout, qu'ils le fassent pour eux-même.