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le bonheur évite l'homme heureux

il a déjà le ciel dans la tête
le feu au fond du coeur
...................................tout en dedans

il ne cherche pas au dehors
les franges d'un monde meilleur

quand le soir arrive
il sourit à l'avenir

ses mots taisent
la transparence frileuse

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Ô merci tes mots sont un apaisement à mon cœur triste, des fois je me demande si tu n'as pas la faculté de lire dans les pensées des autres...

Encore merci vraiment.

Les deux derniers vers sont comme des rais de vérité qui transperce le cocon... J'ai beaucoup aimé !

Merci de m'avoir lue Damona, Féfée.

Pour me faire pardonner le précédent poème, où je me suis laissée aller à l'apitoiement, je suis très vite passée à une note plus positive !
Le bonheur se capte au détour des instants, il n'est jamais acquis (en continu), mais mérite qu'on s'y attache.

Ton premier vers peut semer le doute chez un esprit frileux...
Cela rend le message quelque peu sybillin.
Beau poème en tout cas.

:3829:

Non, l'homme heureux évite le bonheur. Il ne sait exister sans son contraire et à le chercher, à jamais on le perd.

Merci Sérial Trublion, merci Karoloth de m'avoir lue.
j'ai envie d'écrire ce poème à la suite d'un autre poème que j'avais écrit avant. Pour moi ces deux poèmes sont complémentaires.

Dame Demeter, j'accueillerai tous les mots qu'ils soient noirs, gris, blancs ou rouges... Le refuge est là pour ça. Tu n'as rien à te faire pardonner. Ce qui est important c'est que les poètes se sentent bien, qu'ils se sentent libres, et surtout, qu'ils le fassent pour eux-même.