Comme un raz-de-marée
Orage qui dévaste nos cœurs
Tornade de nos passions démesurées
Ces ondes pleines d’ardeur
Rudoient, secouent et tyrannisent
Nous soumettant à leur bon vouloir
La résistance n’est pas de mise
Car en nous se puise leur pouvoir.
L’affect, c’est bien lui ce maudit empereur
Faisant de nous d’humbles valets
Qui ne jurent qu’en son honneur
Nos sentiments captifs, otages en son palais.