Jour de retour, chien de misère, la pulsation bat son plein à la minute, même ou le générateur s’arrête, laissant la place au train de lave, pulsion d’anticipation, peut plus t’aider plus maintenant, si tu fais demi-tour, j’ai autre chose en retour, aujourd’hui j’ai piscine et même si je ne sais pas nager, il faut que j’apprenne à crever, j’avais mis tout ça de coté, mais je ne compté pas l’abandonner, aujourd’hui tout va changer, le vent s’est remis du bon coté, plein poire pour me réveiller, toujours dans la pente, je plis mais ne lâche pas, tant que je n’aurais ta tête, derrière toi tu me verras, j’ai pris un sursit pour raser avec parcimonie, sentiments et envies, remettre de la haine dans ce squelette, touché en pleine tête, mais je suis mort, ma vie est faite, plus de mal pour moi, je le mets au chaud rien que pour toi, alors approche encore un peu et je vais bouffer tes ailes, t’apprendre la peine, que sur le quai il n’y a jamais personne pour te voir descendre les trains qui mènent au parfum de l’invisible rien, mais j’y suis bien, les dents tellement serraient, qu’elles me rentrent dans le palais, royal, chagrin, régal bénin, mais ce n’est pas de la colère, seulement de la peine, plus rien en détour, pas fais pour l’amour ou pas fait tout court, rien à branler, pas de manque à gagner, je l’ai déjà expliqué et je n’aime pas me répéter, les rêves ont la peau dure, mais la mienne est ravinée, impacts pas soignées, hurlant la lune, pleurant le tu ! Meurs en choeurs, l’effluve de vie se pleurs, pas les sentiments, sent que je ment, sur le boulevard, te pleurs pas Paris, fait chier la vie, n’ont rien compris, tout a une fin, c’est ça qui est bien, pas peut être, un mal être pour un autre, peut importe, plus rien ne supporte, le poids de mon être, je pèse, m’enfonce, mais je suis à l’aise, je rentre chez moi, je l’aime cet endroit, je sais c’que tu vas dire, ben rentres y chez toi et ferme ta gueule ! J’y vais t’inquiète, à pas de géant………