Elle se débattais, elle ne voulais pas...
Mais ils étaient trop forts, et bien qu'elles ne voulais pas avancer vers cette pièce qui étais désormais devenue sont purgatoire, ils l'y entrainais.
Les portes s'ouvrirent devant elle, alors qu'elle essayais de s'échapper, encore et toujours, inlassable.
Ils la poussèrent à l'intérieur, et avant qu'elle est pus se retourner, les portes se refèrmèrent derrière elle, la laissant seule... Ou presque.
Qu'allait-il se passer cette fois? Qu'allais t-on lui faire subir? Quand allait-il la libérée, ou la tuer, pour que cela cesse?
Si elle savais, si seulement elle savais...
Elle sondais le noir autour d'elle, de ces yeux que la douleur avait détruit. Elle perçus un mouvement, imperceptible, à sa droite.
Elle se figea, les yeux poser sur le vide. Noir total, puis, aveuglement de lumière qui déferlèrent d'un coup, pour s'arrêter à peine une seconde après.
Elle coucha son corps meurtris au sol... Trop tard, il l'avait déjà touché.
Elle hurla sous la douleur, se cambra. Une étreinte de feu encerclait ces poumons, l'empêchant de respirer.
Elle étouffait, et cela ne faisait que commencer.
Il allait prendre un malin plaisir à poser un doigt sur son bras, puis sa main, et son corps tout entier pour la bruler.
C'était comme une marque au fer rouge sur elle. Sa chair souffrait, elle souffrais. Elle hurlais, le suppliai de tout arrêter, demandais grâce.
Il n'en faisait jamais rien. Il voulait sa peau.
Pourquoi ne la tuais-t-il pas d'un coup?
Il la faisait languir à petit feu... ou à petit froid.
Même si parfois ces décharges la glaçait, il préférait la puissance du feu. Plus douloureuse, pour qu'elle le supplie plus d'arrêter.
C'était un véritable cauchemar, qu'elle vivait depuis plus de dix mois.
Elle ne comptait pas les jours, mais environ une fois par semaine, elle y avait droit.
Il ne la violait pas, il ne la battait pas, il ne lui faisait rien de tout sa... Les autres s'en chargeaient à sa place.
Non, il faisait bien pire que sa. Des brûlures, incandescentes, violentes, mortelles.
Pourtant, elle résistais, même si d'autres avant elle avait du périr au bout de deux semaines.
Chaque fois le même combat, la même douleur, le même enfer.
Car c'était sa. C'était ce que c'étais devenus: l'Enfer.
Tout y était: la douleur, le feu, l'horreur.
Chaque fois, elle percevait une promesse dans l'ombre, la promesse que ce serait pire la fois suivantes.
Elle voulais mourir.
Un être humain n'est pas fais pour survivre à ce genre de choses, ces tortures.
Après chaque brulure, il lui posait une question, à laquelle répondre lui étais impossible.
Elle ne pouvais pas répondre, elle n'en avais juste pas la force. Et même si elle l'avais pu, elle ne l'aurais pas fait.
Parce qu'elle avais promis.
" La promesse, c'est sacré."
C'est ce qu'on lui avais toujours dit et répété. Alors, elle tenais.
Cependant, il y avait une promesse qu'elle avais faites, qu'elle n'étais plus sur de tenir au fil des jours qui passait.
*Flash Back*
"- Maman pourquoi tu pars?
- Pour le travail mon chéri, mais ne t'en fais pas, ce ne sera pas long.
- Qu'est-ce que tu dois faire?
- Je dois m'occuper de choses très importantes, entre deux états.
Il la regardait de ces grands yeux curieux et triste, elle ne voulait pas s'en séparer.
- Je dois y aller maintenant mon chéri. Maman t'aime très fort.
Elle l'avais embrasser et l'avais regarder une dernière fois avant de se retourner.
- Tu rentrera bientôt hein Maman?
- Je te le promet mon chéri. Et je tiens toujours mes promesses."
*Reality Retour*
Etendu sur le sol, elle haletais.
Que se passait-il donc? Pourquoi ne l'avait-il pas ramener en cellule, comme après chaque cauchemars?
Elle savais que quelque chose se passait, quelque chose d'important.
Elle entraperçut une lueur dans le noir.
Alors elle compris.
C'étais sa chance, son heure. Si seulement elle arrivais à se lever... Impossible
Elle commença à ramper, sa vie en dépendait.
Elle mis une minutes à parcourir les trois mètres qui la séparais de la porte, laisser entrouverte par inadvertance.
Elle s'accrocha de toute ces forces à la poignée pour se relever, et pénétras dans le couloir.
Elle s'appuyai contre le mur, et mètre par mètre, elle avançais, lentement.
Si elle croisai un quelconque militaire, elle retournerais en prison, elle le savais... Mais pour le moment, seul l'espoir de liberté lui importais ...
Amell
