Parfois on à besoin de rien pour être heureux. On à juste besoin d'une présence, d'une voix, d'un regard. Sa nous fait chavirer, sa réveille notre âme.
Lorsqu'on ne voit plus certaine personne en particulier rien ne vas plus en nous. On est comme déboussoler, désorienter. On oublie qui on est.
Parce que sans même s'en rendre compte, on donne une part de notre identité à ceux qu'on aime. Comme on dit souvent qu'on donne son coeur à celui qu'on aime. Ce n'est pas vrai.
On ne donne pas son coeur entier à celui qu'on aime. Le coeur, c'est un peu comme les lois de l'attraction. On l'a séparer en morceaux qui sont partis dans celui de ceux qu'on aimais.
Dans celui de la personne qu'on aime, il y à le plus gros. En nous, c'est à peine si il reste quelque chose, un petit bout, juste pour nous permettre de survivre.
Mais il y à les lois de l'attraction. Notre morceau est appelé par les autres. Et lorsque les autres ne sont pas la, sa ne va pas.
On à besoin de rien pour être heureux, qu'une pars de nous même qu'on à donner.
* * *
J'ai juste besoin de réfléchir à tout sa, à tout les sentiments qui m'assaillent dès que je vous vois, au bonheur qui exulte lorsque vous êtes la. Malheureusement, sa marche dans divers sens, et lorsque vous n'êtes pas la, j'ai l'impression que mon coeur s'arrache, quand je vous vois pas, je me sens perdue. Je sais que parfois j'ai eu le sentiment d'être trahis, et c'est le pire sentiment qui soit, venant de vous. Quand j'ai l'impression que vous me trahissez, sa me rend tellement triste que sa deviens physique; je me révulse, je pleure, je hurle, je veux tout casser...
C'est parce que les parties de mon coeur que je vous ai données, quand vous me trahissez, vous les rejetez, vous les piquez, tel des rosiers poussant autour et serrant, serrant, fort.
Sa s'appel la haine.
Et lorsque vous me haïssez, sa fais mal. Je me demande pourquoi j'ai mal, et je ne m'en rend compte qu'après, lorsque je vous vois, que vous parlez à peine, et que vous m'évitez.
La je me rend compte que c'est vous qui me faîtes mal comme sa. Je me rend compte que la vie est injuste, parce que...
Parce que je vous ai donnée une partie de moi, que je me suis arracher rien qu'en me prenant d'affection pour vous, que vous donner une partie de moi c'est douloureux,
que j'ai supporter cette douleur pour vous, et que je me suis offerte à vous. Et cette partie de moi, qui représente tout l'amour que j'éprouve envers vous, vous la détruiser. La vie est injuste parce que tout ce qu'on fait pour les autres, il ne nous les rendent pas... Tout ce que j'ai fais pour vous, vous ne me l'avez jamais rendue. Je vous ai donner une partie de mon coeur. Vous ne m'avez pas donner une partie du votre, vous jouant de ces pactes invisibles, comme-ci cela vous étaient égal. Faisant semblant de me l'avoir donner, pour mieux récupérer la mienne.
En fait je crois que je ne suis même pas triste lorsque je me rend compte de cette trahison. J'arrive même pas à être triste, parce que je vous aimes. Je ne suis même pas énervée.
Dans ce moment la, je ne ressent que de la déception immense. Un gouffre sans fond de déception qui s'ouvre en moi.
Je vous faisais confiance et vous m'avez trahis... Déception.
J'aurais préférée ressentir de la tristesse et une colère sans nom, pour pouvoir me venger, vous l'avouée, mais je ne peut pas, parce que je suis déçue, et que la déception, c'est un sentiment qui s'exprime dans le silence, au fond de soi. La déception c'est une alchimie qui ronge le corps de l'intérieur mais qu'on ne peut pas exprimer, pas à haute voix en tout cas.
Je vous faisais confiance, je vous ai donner mon coeur, vous vous en êtes ris, vous l'avez détruit, vous m'avez détruite, mais je dois me relever, ne rien dire, souffrir en silence, et pardonner.
Je dois pardonner tout le temps, en silence, à tel point que vous ne savez pas que vous m'avez détruite.
Je suis devenue un pantin, dont la seule raison de vivre est devenue le pardon, et l'amour que j'éprouve pour vous.
C'est presque comme-ci j'étais trop triste pour pouvoir parler.
Sa s'appel l'ironie du sort.
Et la morale de ceci serait de ne jamais donner une partie de soi à quelqu'un, car en retour vous n'avez rien, rien qu'une destruction morale qui fait mal. Seulement il n'y aura pas de morale ici car je vous ai déjà donner une partie de moi, et que malheureusement, on ne peut pas revenir en arrière.