Comme des moulins à vent
Des brassées de marrées basses
Un tourbillon de folie
Une éolienne de mes vives pensées
Ou quand l'enfer se joue a guichet fermé.
Je suis au vestiaire de mes relans
Entre nausées sur mon bateau amarré
Sur le pont me jeter .
Que tu me pousses oui je rève
Que tu m'attaches au fond de ton abime
Que jamais plus tu ne me sauve
Laisse moi couler et regarde mes bulles
Reste sur le port a promener des touristes
Moi tu me connaissais de trop.