Putain on frappe à la porte de mon caveau, pourquoi toi supplice béant, tu n’est même pas de mon sang, ni de ma chaire encore moins de mes boniments, arrête de me hanter ou la bête à nouveau réveillée, tu le sais tu es mon seul remord, de tous mes échecs mes erreurs, mon plus grand tort, muré comme un rat mort, je n’affronte plus ton regard même en peinture, envolée loin de ma pourriture, la vie pour toi sera belle aventure. Regard planté sur ce plafond défait, à compter les maux, attendre une fin à cet univers, pour repartir à zéro, vous extraire de mon enfer ordinaire, ne jamais croiser vos chemin, fuir toutes les mains et ne pas vous rajouter ces chagrins et qu’en sais-je encore .. peut-être pleurer, mais faudrait voir à ne plus rêver, fumer pour me tolérer, fumer, recracher, s’extirper de cette tête de taré, trafiquant d’espoir, inutile, de la cendre et des vers, c’est tout ce qu’il restera de moi, piss-off, et cette putain de mémoire, la balance penche sur mon cas désespéré, je suis coupable de tous cotés, traîner dehors sortir à nu, (ou faire le mort parce que je pue,) tue moi de toute ta haine, je m’étais presque retrouvé juste avant d’exploser à nouveau émietté par les vents éparpillé, bain de sangsues, léthargique mental, visage effacé, quand on a pas de raison de survivre, faut trouver une raison de crever, besoin d‘envies, besoin d‘amis, j‘aurais voulu mais j‘ai tout eu, j‘ai rien vécu parce que perdu, dénie d‘existence cherche délivrance, bore dom, (…)
Y'as plus rien à sourire, plus rien à pleurer, plus rien à retenir.
Et dans ma vie c'est trop de combats menés à torts
Je cours je cours, mais j'ai perdu la raison de mon effort
Dans ma tête aucunes images d'un premier sourire
Vivre n'est que fatigue et rien à ajouter.