L'instant d'aprés...
Comme happée par ta si douce ritournelle.
Voilà que dans tes bras je naissais...
Qu'enfin je me trouvais belle.
Qui à part moi aurais cru a se que tu me narrais...
Pour qui sinon toi toutes mes dentelles.
Ton indifference bien plus que qu'étudiée...
Et qui sur toi me tenait en scelle.
Tes hormones en mode passées....
Ma couverture que tu relevais à peine....
Tes respirations nocturnes qui s'élevaient...
Tes vers de mirliton....
Je commençait a te croire...
Mes yeux dans ton regard...comme hantés.
Défigurée...prisonnière...complicité de mon propre meurtre !!
Tes complices sont ta plus grosse fortune...
Ma lettre restera morte...plus de force....bombe le torse...tu as gagné au prix de ma santé !
Déménager...ne pas se remémorer...me dédommager d'un crime que je n'ai pas commis.
Une ile..un asile...ma folie...tu ne m'a pas tout pris...
Je récupère mes dentelles...
Me débarrasse de ce corps !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Magnifique , sa prend au trip .

C'est beau, profond.

Merci Tripe est le mot approprié

D'une belle profondeur...

Mici ..oui écrire c'est vraiment gueuller en silence oui

C'est fort, j'ai aimé te lire !

Merci j'aurais du me relire...des répétitions dans mon tourbillon...à l'état brut de décoffrage...je ferais mieux la prochaine fois meme si je sais ne pas etre jugée ici. Merci vouiiii

Cela m'évoque un " trip" dans le sens de prise de drogue dure... C'est le côté "descente désespérée" qui m'y fait penser... mais je me trompe sûrement. C'est écrit avec les tripes...en tout cas.

Bien vu...héroi..no..man j'aurais du l'appeler
Entre les deux il n'y a qu'un lit d'écart

Oui, on ne peut se laisser tout prendre, sinon l'on devient vite une chose.

Exactement....manipulation des sentiments de nos faits et gestes limite consentent.