Un clair de lune balayé par le Zéphir, les lauriers pleurent.
Je regarde le sol.
Son éclat se perd dans les tourments de ses pensées, saphique pâleur.
Je regarde le sol.
Ses mots comme autant de bulles lancées au néant.
Je regarde le sol.
Sans détour, il n’affiche aucune envie que celle des corps perdants.
Je regarde le sol.
Sans illusion, mon regard s’empare du sien, tel un la brisé au sol,
une clef jetée au diapason.
Je foule le sol, extrême déraison.