Nous avons le droit de parler d'amour et d'écriture, en étant bien conscients que nos mots nous ramènent à notre propre histoire et ne s'érigent pas en vérité universelle. Je pense que nos errances nous aident à grandir, à nous connaître, à appréhender qui nous sommes vraiment, même si cette quête est infinie et qu'il faut plus d'une vie pour y parvenir.