Les constellations perdues envoient de filantes comètes,
Mettent
Des émotions inconnues, en ces joies grisantes et parfaites
Faites
De l’éclosion d’ingénus ébats qui contentent l’univers.
Vers,
En échos qui dans la nuit de tes yeux constellèrent
L’air
De cette allégorie de l’infini que ces dieux, dont l’impudence
Danse
Dans les galaxies, mirent au milieu de ce fond d’espérance.
Anses
Misent sur ton cœur pour que je le porte dans l’arc-en-ciel.
Ailes
Acquises de ces lueurs qui emportent les immortels,
Telle
La brise et ses rumeurs poussent les douleurs humaines,
Mènent
Les vides émotionnels vers les verdoyantes plaines.
Laine
Qui tisse en nos aquarelles de chatoyantes couleurs.
Heures
De ces amours exquises qui nous couvrirent de douceur,
Sœur
De nos contours en esquisses de doux souvenir allégés.
Jets
De prière pour que blêmissent les coups de l’avenir éreinté,
Thé
Pour réchauffer les espoirs que nos rêves alimentent,
Menthe
Verte fluorée, le blizzard et sa sève rafraîchissante
Sentent
L’odeur de la volupté enivrante de l’amour courtois.
Toi,
La lueur inespérée étincelante que ce jour adula,
Là,
Où mon cœur fatigué retrouva son arrime.
Rimes
En fleur composées pour que ta voix les exprime.
Priment
Les caresses posées sur toi en frissons,
Sons
D’allégresse, rosée de soie à profusion.
Fusion
De toi et moi que l’univers décore
D’or.

Allover 2007