Un havre de verdure derrière l’abribus
Un rayon de soleil caché sous les nuages
La ronde des voitures et une brise en plus
Aujourd’hui c’est l’été, pas le temps d’être sage
Je m’en irai là-bas voir l’écume des vagues
Lorsqu’elle aura sonné, la cloche des vacances.
À la musique des flots, déjà mon cœur divague
Je rêve d’affronter la grande transhumance
Quitter les quais de gare, le métro et la foule
Pour une verte nature et du beau sable blanc
Paresser, pêcher et même jouer aux boules
Du temps laissé à vivre sans faire le moindre plan.