Des mots comme un Paris,
Comme ton coeur en bouteille,
Comme un hymne à la vie.

Pont tendu entre rivages,
Un lien né entres deux rimes,
Deux sourires aux mirages.

Pas trop dans son assiette,
L'autre coeur, que la vie mange
A grands coups de fourchette.

Demain sera plus rose.
Main tendue sur la mer,
Une âme se met en pause.

Sur le rocher à côté,
Une colombe, plume légère,
porte un brin d'olivier.

Elle roucoule la tendresse.
Son chant métamorphose
Les douleurs en caresses.

douceur, tristesse un peu des deux je ressens en lisant ce poème ,une belle caresse.

Ces mots-là, tes mots sont les plus beaux car ils viennent du coeur. Merci pour ce partage profond.

lutece a écrit:

Ces mots-là, tes mots sont les plus beaux car ils viennent du coeur. Merci pour ce partage profond.

Fluctuat nec mergitur...la devise de Lutèce

...C'est vrai, c'est la devise de mon pseudo...et j'essaye de ne jamais sombrer ni de me laisser submerger par les épreuves de la vie (même si ce n'est pas toujours évident). Merci Merle Bleu!!!

Oh encore un beau cadeau que tu nous fais là !
Tu as une belle âme tu sais et quelle bonheur que tu nous aies rejoints !
Merci en majuscule et au pluriel pour tout et pour TOI

JEAN PIERRE a écrit:

Oh encore un beau cadeau que tu nous fais là !
Tu as une belle âme tu sais et quelle bonheur que tu nous aies rejoints !
Merci en majuscule et au pluriel pour tout et pour TOI

Merci Jean-Pierre pour ta gentillesse, mais ce TOI en majuscule me donne envie de courir me cacher

Bonne soirée

Les douleurs appellent plus intensément encore les caresses !
C'est ce besoin vital de tendresse qui se lit ici de façon fort plaisante.

Un très bel échange de tendresse, en réponse à Lutèce, fortes images et ressentis dans cette poésie, j'aime beaucoup !

Comme un coussin moelleux pour âme endolorie....