Oh ce joli métier de couturière ! Ma sœur dont ce n’est pas le métier est très douée pour cela, et quand je vois ce qu’elle fait, je trouve que ce sont des chefs d’œuvre souvent – ce qui me fait penser que c’est une activité très créative et non reconnue à sa valeur – Quand ce n’est pas des multinationales.
Et dans ce poème en plus ce métier de mérite est transcendé par cette histoire triste, mais oh combien jolie. Il est vrai que dans l’écriture, la tristesse est esthétique.
Bravo un poème-conte qui touche énormément.