Cinq heures zéro huit, appel d’urgence, y’as pas de soucis dit dépendance et pour ceux qui en doute, la roue tourne chaque secondes, éclaire ta route, puis à nouveau te plombe, j’y ai cru, déjà beaucoup moins, presque trop loin, j’avais écris quelque chose de bien, de sains et pas de jeu de mots cette fois, si je n’y tenais pas à mes furies, serais déjà partis, mais combien encore, de jours à faire le fort, de nuits chasse aux dragons, serré les crocs, encaisser les rivières qui s’assèchent jusqu’aux aurores, plus de grand mots, plus d’illusions, quand l’A trouve une faille, tapis dans l’ombre le venin te cisaille, métallique froid et méthodique je passe à la pratique, puisque devenu gênant, au moins je gagne du temps, plus tu relèves la tête, plus tu tombes de haut, l’avantage quand tu déprimes c’est que tu les connais tes abîmes, le poteau se dévoile, ne sourit plus sous les toiles, cherche le nord pour se perdre au sud, ne reste plus qu’un corps c’est une certitude, vide de ces absences qui effraient la solitude, fallait qu’il s’explique, entre ceinture et coup de trique, la facilité n’est pas toujours celle que l’on croit, la liberté pas saine selon moi, protection en lacunes pour raison de tunes, enfant et adulte dealer de turlutes, mais si tu speed petit tu l’a verra pas ta vie, pas tout de suite, à crocs perdus, gloire au pan, du , mur de la honte, seul à être fier, de ne pas jeter la pierre, tombe mal, échanger la dignité contre un rêve à renifler, bouc émissaire d’une franchise déficitaire, de toutes ses nuits pas un seul cri, ma part est normale, j’ouvre le red canal…. Mais …. Faut pas croire tout ce qu’on écrit, ce n’est qu’un récit, perdu au milieu des sanglots, d’un putain de rêve qui s’essouffle au caniveau.