Coup de cafard, coup de cauchemars, enfonce le dard, je sors barbare.
Coup de blues, coup de douze, un homme a terre, vogue la galère.
Dérapages contrôlés par ton état dépressif, surf rising sur les récifs
Laisse tomber, naufragé d’un raz de marée de l’amour, déstockage total, tout les sentiment doivent disparaîtrent, y’a que dédain sur mon passage, et dans mes yeux plus d’aventures ni de paysages,
Je me suis jamais sentis si bien, je ne me suis jamais sentis si mal, j’en sais rien qu’est-ce j’en ai à foutre, c’est peu demander la tranquillité,
L’Amiral saint Vincent a dit un jour que nous avons tous étaient un jour de braves types, ce qui est vrai c’est que cela n’a pas duré,
Pathétique espoir de la fourmi qui attend que le géant lui jette un regard même fugace.
Expérience, expérience Christ 33 bientôt, tu parles les épreuves ne font que des boulets, ou que tu sois la lumière n’est qu’un réverbère, l’étoile est filante, les leçons pesantes, les difficultés les galères font la force à ce qu’il parait, alors j’ai du trop me battre tellement je suis abîmé, fatigué, y’a toujours pire que soi, ouais y’a toujours plus profond que le fond, mais qui sais quand l’autre y est, qui s’en inquiète, on joue les poètes, on a tous une définition de la vie, chacun chez soi, souvent on la maudit, en attendent on écoute même pas, je suis qu’un mec à milles lieus, d’avoir la réponse sur ce, que l’on pourrai appeler les règles du jeu, tout ce que je sais j’ai décidé de l’oublier, rien ne sert de courir, tu ferais mieux de laisser aller bientôt tu vas ramer, la méduse n’est pas rentré, son radeau n’a pas pardonné, si tu crois que t’as vie c’est un feuilleton, qu’on écrit ton texte et tes dictons, que l’amour c’est fou comme être sous cachetons, alors change de chaîne ou de télévision, rien à t’expliquer t’as plus rien à capter, trop de luttes, d’espoirs asservis et de chutes dans ces lignes acerbes, j’en souri, pour supporter me faut plus que de l’herbe, j’aime la ville on dirait Thoiry, plus rien ne m’étonne merci râbla et La Mauny, je marche à l’ombre évite d’effleurer la vie, le regard sombre mais un frisson t’as trahis, je m’insinue, te moisi, laisse mes détritus, c’est fini toi aussi tu es à la rue.
Fallait pas caresser le désespoir, ma tête est dépotoir, me laisser sur le trottoir et vivre ta gloire.
Autres vies mêmes histoires, je sais je débloque mais je suis plus sous le choc, dans l’amour je tranche et mon discours maintenant débranche.