N’oublie pas qu’à la fin du film le flingue est dans sa main, c’est sûrement ça prendre de corps ses desseins, compte sur ces paroles, pas de monnaie c‘est pas de bol, ravale ta rancoeur, la sienne a les crocs qui rayent le sol..! Black caesar, pas besoin de couronne, trop de gens dans le noir, et pour eux pas d’aumône, nécrophages comminatoires, pas d’entrés que des halls..! Ici les cerbères n’ont qu’une tête et six ou huit corps, bizness n’a point de prophète et encore moins de passeports.
Arcades sibyllines, arcanes aux yeux Marine; si le lion d’or, le dos fin de paraffine.
Séraphin, sert à la faim ! Car sept fois il doute, qu’encore il se relève, passablement en déroute, écume sur la grève. Qui pourrai nager toute une vie en eaux noires et gelées ? Prière à l’achèvement d’une fertilité déchiquetée. Naufragé naufrageur, craches ton venin la main sur le cœur, chiens fidèles sous les drapeaux, charniers confidentiels épinglés sur le palto. Éducation palliative, reconversion curative, si prévention se délite, répression au zénith. La danse cataleptique, névroses pathétiques du vaillant esthète hic..! Enchante la foule informe, masse dominante bien conforme, acquis sans tête ne panse, qu’aux prix sur faits et apparences, éminences votre morts est doléance, monter sur cène n’est pas votre exigence ? Quoi qu’il en fût, famine cérébrale n’est pas venue, calanche en cadence, déterminé tel le bédouin, désespéré comme le chagrin, je ne crois plus quelle délivrance ! Un jour subir la pénitence…
Du haut de ta potence, comment est-on le cygne de son petit frère, trop euphorique pour ne pas mourir,
Du bas de ta violence, comment symboliser l’amer, trop déterminé pour encore souffrir,
Corneille pour moi n’y est plus, panthère borgne j’ai soufflé tes jardins suspendus,
À la lande des morts, que peux-tu craindre encore ?
Une étoile renaît de nouveau dans tes yeux, apaisante cautérisante, met de l’ordre dans ton jeu,
La boule grossit, ne trahit soufre ton feu, reluisante déterminante, c’est du calibre vingt-deux.
