Obscur apaisement, après la haine plus que de la peine, où est-ce que cela mène
Désir ardent, où est-ce que cela saigne
Brouillon vivant, je comprends pourquoi je suis une teigne
Normal y’as pas d’espoir, pas une tunes dans ma destinée
Plus envie de se battre, déjà trop fatigué
Mort à la gloire, sus à la sérénité
Solitude engagée n’as aucune pitié
Si la vie est un combat où sont les guerriers
Si l’amour est un coup bas qu’avons-nous à y gagner
Obstruction d’âme, percutions de la pensée
Sémaphore.appel d’urgence…dans la fosse c’est ton corps
Feu vert.délivrance…mais dans ta paix c’est l’hiver
Penses à tout ces moments souvenir de rien
Comme une enfance faite de boue pour parpaing
Comme un château un refrain, enfermé dehors t’a vraiment l’air fin
Tous ces bouts que tu sèmes ces petits riens
Ne te ramènerons pas sur le bon chemin
Tu y crois encore, tu y crois très fort
Puis d’un coup tout s’éteint, tel un lampadaire le matin
Qu’est-ce que tu croyais, t’es pas orphelin
Ni de la haine ni du chagrin…Y’as pas que toi dehors, t’es pas seul vivant mort
Tu y crois pourtant, de la ton pare-balles
Sans ton armure te voilà animal
Nomade land, territoire, cœurs: offrandes méritoires
Guérilla urbaine, guérilla interne
Vague à l’âme, vague illusions de désespoir
Aller viens prends une main et tiens..!
Tiens la bien c’est peut être pas la fin
Même si tu y crois, si c’est ton choix
T’es déjà au fond même si tu peux aller plus profond
Après c’est dépravation, prostitution, autodestruction