* ou : genèse de "la souricière du désespoir", postée sur alchémy côté nuit.
mille rats d'égout -non moche quand même, rats d'accord mais mille, un peu trop,
rats d'égouts rongeant mon âme
heu rat d'égout c'est un peu commun ça rat dégoût rat des goûts
rongeurs rongeant - joli l'allitération, mais redondant
petit tour sur l'ami gougueuele
muridés c'est pas mal, ça muridé,
muridé acide, rongeant mon verbe régicide (régicide, c'est parce que je suis toujours assise sur le trône de fer, rôôô il y avait longtemps qu'un bouquin ne m'avait pas fascinée comme ça, déjà presque fini l'intégrale 3 , 'reusement que j'ai la 4 en sctock )
muridés acides dont les cris aprricides foutu clavier
le coin des rats.net! ça existe ça!! je lis :
Le rat est encore victime de nombreux préjugés: on l'accuse entre autres de transmettre la peste, de tout saccager et d'être laid avec sa grande queue sans poils (sic!). Et pourtant, c'est un formidable animal de compagnie: drôle, intelligent, sociable.
mouais tout moi ça, drôle, intelligente, sociable. serais je une muridée sans le savoir?
mur idée, mûre ridée pouah ça marche pas
bon reprenons, je stagne là,
des muridés acides ont rongé depuis longtemps
les liens cordes noires
les
laids
les cordes obscures (ouais obscur ça j'aime, souvent utilisé mais qd on aime, bref bref obcsur je garde)
des muridés acides rongent depuis l'aurore
les cordes obscures qui ligotent nos membres
promettant qu'à l'heure où le froid se fait tendre
pfff poussif ce matin poussif
faudrait un peu de peps dans tout ça
un peu de fièvre enportant la baba
cahin caha
des muridés acides rongent depuis l'aurore
les cordes obscures qui ligotent nos membres
lorsque dans le songe où tremblent nos corps /qui fait trembler nos corps?
(heu ça veut dire keke chose, ça? syntaxe syntaxe...fais des phrases courtes ma chérie ça se découd méchant)
des muridés acides marchent depuis l'aurore,
cohorte ricanante
je crois que j'tiens quelque chose là
des muridés acides marcehntmarchent depuis l'aurore
rongeant avec constance
les cordes
leur gueules parricides rongent avec cosntance constance
les cordes obscures
qui entravent la transe (ouais, bien, transe y avait longtemps que pas venu tremper ds mes gerbes çui là )
les cordes obscures
où s'entrave la transe
des muridés acides marchent depuis l'aurore
cohorte ricanante
flûte un mot une idée me tourne autour, gestation embryon, enfantement douleur
cohorte ricanante enfantée par mon corps ? beurk on parle de RATS quand même je le rappelle à ceux qui tenteraient de suivre
des muridés acides marchent depuis l'aurore
cohorte ricanante nichée entre nos corps (ouaip)
un songe qui finit de trembler
jusque sous am cahir épuisée
ma chair épuisée
aun songe aux dents
mille
songes sans nombre
aux dents têtues
( je souffre!!)
quand un songe têtu
n'en finit pas de trembler sous ma chair
fiévreuse et solitaire (ouh là ça devient scabreux par là scabrons scabrons j'aime ça)
flûte je sais plus DU TOUT où j'en suis. relecture et retatouillage s'imposent.
...je me relis. du temps, ché pas, faites vous réchauffer un caoua.
des muridés acides
marchent depuis l'aurore
cohorte ricanante
nichée entre nos corps
leurs gueules parricides
rongent avec constance
les cordes obscures
où s'entrave la transe
sous ma cahir chair solitaire
tremble encore l'écho pointu
du songe que foulent fouaillent avec fièvre
leurs griffes à nu
du songe du songe, trop singulier, pas bien le songe et pourquoi le songe d'abord, nuit sans rêves nuit sans sommeil, nuit sans nuit, jours abîmés, trêve sans cosncience conscience sans consistance
sous ma chair solitaire
tremble encore l'écho pointu (j'aime ça l'écho pointu)
de trêves ? rêves? sans sommeil
que des griffes à nu
fouaillent avec fièvre
pff et j'avais des quatrains jusqu'à présent je ratatine mes 5vers ou bien pas?? saez s'en fout, lui, qui sussure dans le casque j'écrirai pour toi pour y voir la mer pour entendre rimbaud parce que ça n'a pas de sens parce que c'est toi le sens, saligot bon je laisse mes foutus 5 vers
ça commence à me courir cette histoire
me faudrait une chute
choper les rats ds la souricière
ou les transformer en 6 chevaux blancs pour aller au bal ...
retatouillage du début
des muridés acides
marchent depuis l'aurore
cohorte ricanante
nichée entre nos corps
leurs gueules parricides
rongent avec constance
les cordes obscures
où s'entrave la transe
sous ma chair solitaire
tremble encore l'écho pointu
de rêves trêves sans sommeil
que fouaillent avec fièvre
des griffes à nue
que fouaillent des griffes nues
et des rêves vermeils
bon dieu (qui s'en fout ) ça vient et j'ai un titre en plus
des muridés acides marchent depuis l'aurore
cohorte ricanante
nichée entre nos corps
leurs gueules parricides
rongent avec constance
les cordes obscures
où s'entrave la transe
sous ma chair solitaire tremble l'écho pointu
de trêves sans sommeil
que fouaillent une griffe nue tes des griffes nues
[strike]et des rêves vermeils[/strike]
et nos rêves vermeils
des crocs têtus déchirent avec force
les quelques sanglots
qui colmataient l'écorce
la horde défend sa terre promise
et je m'attends à disparaître
devant l'énergie sauvage
que met à se repaître
la meute grise
mon âme ligotée sous la chape
s'épuise en ruades stériles inutiles vides
vaines peureuses tentatives cherchant à fuir où je cherche à me fuir
mais de la souricière du désespoir
nul ne s'échappe.
mon âme (j'arrive au bout je le sens c'est dans mes doigts)
mon âme ligotée sous la chape
s'épuise en ruades vides
peureuses tentatives où je cherche à me fuir
dans les bras consolateurs
sous la hache miséricorde tranchante
sous la mortelle miséricorde d'un bourreau noir
mais jamais nul ne s'échappe
de la souricière du désespoir.
pfff je crois que je l'ai ...fin de la tambouille, merci d'avoir pataugé avec moi! et pour lire en clair ce qui a mijoté dans le chaudron de la sorcière, sans les fautes de frappe et les ratures, mais avec la substantifique moelle de ce texte abscons, mes amis pas d'hésitation, rendez-vous sur alchémy côté nuit!