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 Lune T2/Chapitre 1

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quelemondeestbeau
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quelemondeestbeau

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Lune T2/Chapitre 1 Empty
MessageSujet: Lune T2/Chapitre 1   Lune T2/Chapitre 1 EmptyDim 6 Juil - 19:19

[Bonjour à tous ! Pardonnez mon long silence, un certain examen nommé baccalauréat m'a empêché de prendre du temps pour publier par ici. Heureusement, je l'ai bien maté, avec une mention bien en prime. Bref, aujourd'hui, j'ai décidé de publier le premier chapitre du tome 2 de Lune, que certains avaient suivi avec un réel intérêt. Personnellement, je trouve la suite plus réussie que le premier tome mais je compte sur vous pour me donner votre avis. Bonne lecture !]

I.
Retour inopiné

  L'église du village se réveilla bruyamment à midi. Ses cloches se mirent alors à résonner et le son cuivré se répercuta contre les vieux murs de pierre. Quelques jeunes enfants passèrent tout près du portail cassé de la ferme, poursuivant avec ardeur un pauvre petit chat gris. Leur jeu continua jusqu'à ce qu'ils atteignent la grange qui servait d'abri aux vagabonds. L'un d'entre eux, rapidement rejoint par les autres, se mit à pester car le chaton avait disparu. Après deux ou trois jurons à l'égard du chat, tous se dirigèrent vers le port après avoir trouvé une nouvelle idée de jeu.
  Je les observai partir du coin de l’œil avant de paisiblement reprendre ma lecture, assise sur un muret non loin de la ferme. Le tourbillon de l'histoire me happa immédiatement. J'étais tellement passionnée par l'histoire que je n'entendis pas les pas légers qui venaient vers moi. L'individu à qui appartenait ces pas posa une main sur mon épaule. Je sursautai et laissai tomber mon livre. Les yeux verts d'Alexander me fixèrent avec malice.

- Tu m'as fait peur, dis-je en souriant.

  Il ramassa mon livre, l'épousseta et le posa sur le muret.

- Toi et tes livres. Je suis sûr que tu les aimes plus que tu ne m'aimes moi, ajouta-t-il sans se départir de son sourire.

  Je le fis taire en l'embrassant. Il mêla ses doigts aux miens, rendant au passage mes mains blanches de farine. Depuis qu'il était devenu l'apprenti de M. Allan, Alexander avait perpétuellement de la farine sur les mains. Il m'était ainsi aisé de deviner si Le Pain retrouvé avait eu une bonne journée ou pas. Plus les mains d'Alexander étaient blanches, plus la boulangerie du port avait eu du succès dans la journée. Ces derniers temps, si j'en croyais ses mains, le commerce ne désemplissait pas.

- Tu ne devrais pas être à la boulangerie ?
- M. Allan a décidé de fermer plus tôt. Il estime que nous avons assez vendu pour aujourd'hui. (Il s'assit à mes côtés sur le muret.) Je voulais venir te voir.

  Du bout des doigts, je caressai les cernes qui s'étiraient sous ses yeux. Alexander se levait tous les jours à quatre heures du matin pour préparer le pain et les diverses viennoiseries. Il passait ensuite l'après-midi à dormir. M. Allan lui avait gentiment proposé de dormir dans le grenier au-dessus de la boulangerie. Il ne voulait pas laisser son apprenti sans un toit au-dessus de la tête.
  Deux à trois fois par semaine, je le rejoignais pour le déjeuner et le dimanche, nous allions nous promener main dans la main, à la manière des couples mariés. Une existence tranquille, loin des tirs de canons et des bains de sang.

- Je ne travaille pas demain. M. Allan a insisté pour que je passe la journée avec toi.
- Il l'a vraiment dit comme ça ? m'étonnai-je.
- Non, mais c'est ce que j'ai décidé de faire de cette journée dont il me fait cadeau.

  Une porte grinça derrière nous. En me retournant, j'aperçus mon père, d'humeur plutôt joviale, siffloter des notes au hasard. Il salua Alexander d'un geste de la main et se dirigea vers le poulailler. Ma mère sortit à son tour et s'appuya sur le chambranle de la porte. Son air radieux faisait plaisir à voir. Dire qu'il y a peu, tout ceci paraissait impossible...
  Un an s'était écoulé depuis mon retour à Hispaniola. Un an durant lequel j'avais tenté d'oublier les événements qui avaient marqué cette terrible aventure. Il y avait eu des bons comme de mauvais épisodes, mais force était de constater que les mauvais moments avaient été les plus nombreux. Néanmoins, quand je regardais ma mère observer tendrement mon père, je me rendais compte des bonnes choses que m'avaient apportées ce voyage. Il y a un an, jamais je n'aurais pu imaginer revoir ma mère debout et en bonne santé. Il m'aurait été encore plus impossible de croire que la voix grave de mon père résonnerait à nouveau entre les murs de cette ferme. Difficile de croire aussi qu'un sinistre bateau pirate m'apporterait l'amour. Il faut croire que, parfois, la vie fait bien les choses.
  Alexander passa un bras autour de mes épaules et suivit mon regard, qui allait de ma mère à mon père, en repassant par ma mère.

- Finalement, le capitaine a bien fait de t'enlever, fit-il.
- Apparemment, oui, répondis-je avec un petit air triste.

  Je soupirai. Oui, j'avais retrouvé mon père, soigné ma mère et étais tombée amoureuse d'un merveilleux garçon. Oui, j'avais appris sur moi-même et sur les autres. Tout cela était vrai et, d'un côté, mon enlèvement avait presque été une bonne chose. D'un autre, j'avais vécu des pertes pendant ce voyage, des pertes qui m'avaient brisé le cœur plus que je ne voulais l'avouer.

- Tu penses à Samuel, devina Alexander.
- Il me manque tellement. Il était toujours là pour moi, même s'il ne disait rien. Sa présence était rassurante.
- Il me manque aussi. C'était un brave gars.

  Nous plongeâmes mutuellement dans nos pensées, les yeux dans le vide.

- Tu sais, commença-t-il doucement, parfois, la souffrance nous aide à grandir. Tu n'as plus jamais été la même après, n'est-ce pas ?

  Je hochai la tête, les yeux toujours à mi-chemin entre les maisons branlantes et les plantes qui les avaient envahies. J'inspirai brièvement et quittai le muret, incitant ensuite Alexander à faire de même. Mon soupirant jeta un œil à l'horloge du village et déclara qu'il était temps pour lui de rentrer se reposer. Il déposa sur mes lèvres un ultime baiser et prit le chemin du port. Je le regardai partir, appuyée sur le muret, et finis par détourner les yeux lorsqu'il disparut de ma vue. D'un geste assez lent, je récupérai mon livre et rentrai à la maison, où ma mère m'attendait pour déjeuner. Mon père arriva quelques minutes plus tard, toujours aussi joyeux, et s'installa à table avec nous.
  Une fois le repas terminé, je nettoyai mon assiette et demandai la permission de sortir, qui me fut rapidement accordée par ma mère. Mon père, quant à lui, était plutôt réticent. Lorsqu'il fut seul avec moi dans la maison, il m'en expliqua les raisons.

- Leanne, je ne veux pas que ça recommence.

  Je l'interrogeai du regard, perplexe.

- C'est en allant au port que tu as été enlevée. Je ne dis rien pour les déjeuners avec Alexander car je sais que tu ne crains rien avec lui, mais je ne veux pas que tu y ailles seule juste pour te promener.
- Papa, il ne m'arrivera rien, protestai-je. Je n'y resterai pas longtemps, je voudrais juste voir si...
- Si quoi ?

  Je me tus. Si Lyrina m'attend au port. Voilà pourquoi je voulais y aller. En mon cœur, j'avais toujours l'espoir que Lyrina, ma douce Penseuse, reviendrait vers moi, qu'elle me prouverait que notre courte amitié était de celles qui durent toute la vie. J'étais naïve de croire qu'elle nagerait jusqu'à Hispaniola pour me revoir. De toutes manières, la sirène était censée m'avoir complètement oubliée. Cette sortie au port ne rimait à rien et ne me servirait à rien mais j'avais besoin d'y croire. Je tentais désespérement d'imaginer que Lyrina n'était pas redevenue comme ces monstrueuses créatures dévoreuses d'hommes.
  Je me contentai de hausser les épaules, pris mon livre et allai m'asseoir sur la chaise devant la fenêtre. Derrière moi, mon père soupira brièvement et sortit tandis que je laissais mon regard vagabonder. Mon livre était ouvert sur mes genoux, mais je ne lisais pas. Les craintes infondées de mon père m'avaient fait revenir au jour de mon enlèvement. Je me souvenais de chaque détail comme si tout était arrivé la veille : l'odeur de poudre des pistolets, les cris des passants. La peur qui m'avait noué le ventre. Chaque sensation, chaque odeur, chaque bruit était à jamais ancré dans ma mémoire.
  Je m'accoudai au rebord de la fenêtre, plongée dans mes souvenirs. Seule une silhouette arrivant à toute allure du port réussit à me tirer de mes réminiscences. Je bondis de ma chaise et me ruai dans le jardin, dans lequel Alexander se tenait, essoufflé et haletant.

- Le Cœur... Le Cœur est là... dit-il. Je l'ai vu.
- Tu en es sûr ? lui demandai-je lorsqu'il put respirer normalement.
- Ils ont caché le pavillon noir mais j'ai reconnu certains membres de l'équipage.

  Mon père avait cessé de s'occuper de la mule et était venu nous rejoindre.

- La présence du Cœur des Caraïbes à Hispaniola n'est pas un hasard, fit mon père. Je ne vois que deux explications possibles : soit Spark a voulu venir nous dire bonjour, ce dont je doute fort même s'il nous apprécie, soit il a besoin de nous car il a de graves ennuis.
- Pourquoi viendrait-il nous voir ? m'étonnai-je. Je ne pense pas que nous lui soyons d'une si grande utilité.
- Je ne vois pas d'autres explications.

  Après un court instant de réflexion, nous décidâmes d'aller au port pour en avoir le cœur net. Mon père eut des remords à laisser de nouveau ma mère seule, mais cette dernière le rassura et lui promit de faire attention pendant son absence. Nous allâmes donc tous les trois au port, avec une démarche qui oscillait entre la course et la marche rapide tant notre curiosité était grande. Lorsque nous arrivâmes au port, nous comprîmes qu'Alexander ne s'était pas trompé. Le Cœur des Caraïbes était bien là, aussi fier et somptueux que la dernière fois que je l'avais vu, alors qu'il quittait tranquillement Hispaniola.
  Ses voiles blanches et ses dorures le faisaient facilement passer pour un riche navire marchand comme on en croisait dans les Caraïbes. En guise de pied de nez aux autorités, le bateau pirate mouillait juste à côté d'un bâtiment de la marine britannique. Je me mis à chercher Spark du regard, sans succès, avant de reporter mon attention sur l'équipage. Un pirate grisonnant s'avançait vers nous, un perroquet rouge et bleu sur l'épaule.

- Vous êtes Monkey ? dit-il en s'adressant à mon père.
- Oui. Je suis venu avec ma fille et son ami.
- Je me souviens bien de vous. Je m'appelle Dirk Simon.

  Mon père lança un regard au-dessus de l'épaule libre du pirate. Ce dernier caressait fébrilement son perroquet.

- Où est Spark ?
- C'est la raison de notre venue, répondit Dirk en affichant un air sombre.

  Il y eut un silence sinistre malgré le boucan habituel du port. Même l'oiseau de Dirk ne disait rien et se contentait de se balancer d'une patte sur l'autre. Deux officiers arrivèrent près de nous en murmurant. Lorsqu'ils passèrent à côté de moi, je perçus quelques mots comme « pirate de malheur » ou « terrible danger ». A tous les coups, les deux marins britanniques s'entretenaient sur un pirate sanguinaire qu'il fallait à tout prix arrêter. Dirk reprit la parole mais sa voix trahissait son inquiétude vis-à-vis des officiers.

- Nous devrions poursuivre cette conversation sur le Cœur.

  Sur le pont du navire, le perroquet commença à s'agiter. Dirk nous emmena dans la cabine de Spark, sous les regards étonnés des autres flibustiers. Certains nous adressèrent un signe timide de la main mais n'osèrent pas nous saluer oralement. L'absence pesante de Spark et l'atmosphère tendue qui règnaient m'oppressaient et seule la présence d'Alexander derrière moi parvenait à m'apaiser. Dirk ferma la porte de la cabine et nous invita à nous asseoir. Alexander et moi prirent place sur le bord du lit tandis que mon père tira la chaise du bureau pour s'y installer. Le pirate, la main glissée dans les plumes de son oiseau, resta debout.

- Spark a été enlevé, lâcha-t-il brutalement.
- Enlevé ? nous écriâmes-nous en chœur.
- Vous êtes sûr qu'il n'est pas allé s'amuser en secret dans un cabaret ? l'interrogea Alexander.

  Je le regardai, un peu choquée par sa remarque. Il m'était impossible d'imaginer Spark – un homme que j'avais tant côtoyé – dans un de ces lieux mal famés, une femme lourdement maquillée à ses côtés et une bouteille de rhum à la main. Alexander croisa mon regard.

- Tu sais, c'est monnaie courante chez les pirates d'aller au cabaret. Il m'est déjà arrivé de...

  Il s'arrêta de parler en voyant ma réaction.

- De... ? répétai-je, une pointe de jalousie dans la voix.
- Leanne, coupa mon père, ce n'est vraiment pas le moment.

  Je me tus et piquai un fard, honteuse de ma réaction puérile. Dirk se racla la gorge.

- Ça s'est déroulé au large des côtes de Tortuga. Un bateau avec des voiles noires nous a attaqués. Spark se battait lorsqu'il est brusquement tombé au sol. Il a commencé à hurler de douleur. J'ai essayé d'aller l'aider mais un des membres de l'équipage adverse m'a entaillé la jambe. La blessure était trop profonde, j'ai dû me mettre à couvert. Quand j'ai pu me tenir debout, Spark n'était plus sur le pont, ils l'avaient emmené.

  Je tournai la tête vers mon père, qui opinait doucement du chef. Alexander, quant à lui, avait une ride soucieuse qui lui barrait le front.

- Êtes-vous certain qu'il est toujours en vie ? avança-t-il prudemment.
- Nous en doutions jusqu'à peu, reconnut le pirate. Je crois qu'ils veulent jouer avec nous.

  Dirk sortit un papier chiffonné de sa poche et le tendit à mon père. Il le considéra un instant avant de me le donner.

- Allez là où tout a commencé, lut Alexander.
- Ça ressemble à un jeu de pistes, commentai-je. Spark doit être l'étape finale du jeu.
Comme Leanne était la clé du temple et que c'est avec elle que l'aventure a vraiment commencé, nous avons pensé qu'Hispaniola était la première étape, expliqua Dirk. Nous avons aussi pensé qu'avec votre aide...

  Mon père s'était raidi à l'évocation de mon nom.

- Les enfants, fit mon père, allez dehors un instant.

  Nous ne le reprîmes pas sur le terme « enfants » et quittâmes la cabine après un bref regard vers les deux hommes. Lorsqu'Alexander referma la porte, mon père avait abandonné sa chaise et faisait face à Dirk, sans aucune animosité sur le visage. Je collai mon oreille à la porte.

- Leanne, à propos de ce que j'ai dit tout-à-l'heure, murmura Alexander, c'était stupide et je...

  Je lui fis signe de se taire. En me concentrant, je parvenais à entendre la conversation entre mon père et Dirk. Alexander s'approcha à son tour de la porte, curieux, et finit par imiter ma position. Le ton commençait à monter à l'intérieur.

- Monkey, nous avons besoin de vous !
- Je comprends votre inquiétude mais je ne veux pas quitter ma famille encore une fois. J'en ai trop souffert.
- Vous possédez un grand savoir en ce qui concerne les mers et les îles. Nous ne pouvons pas partir à la recherche de Spark sans une connaissance approfondie des Caraïbes !
- Pardonnez-moi Dirk, mais ma femme et ma fille passent avant votre capitaine.

  Il y eut un silence dans la pièce, rapidement brisé par Dirk.

- Et Leanne ? Elle communique avec les sirènes. Elle peut peut-être venir à votre place, ses pouvoirs nous seraient utiles.

  Alexander et moi échangeâmes un regard. Un nouveau voyage se profilait à l'horizon.

- Laissez ma fille en dehors de ça. N'essayez même pas de l'emmener de force.
- Sinon quoi ?
- Vous ne savez pas de quoi je suis capable pour ma famille...

  Des pas se rapprochèrent de la porte. Alexander et moi partîmes en vitesse et nous rendîmes à l'avant du pont, près du mât de beaupré. Mon père arriva à peine quelques secondes plus tard dans notre dos.

- Leanne, nous rentrons !
- Est-ce que... tentai-je de dire.
- Oui, Alex peut dîner à la maison ce soir. Dépêche-toi !

  Je jetai un œil à mon ami, qui haussa les épaules, avant de descendre du bateau pour essayer de rattraper mon père, qui avait quasiment disparu tant il marchait vite.
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MessageSujet: Re: Lune T2/Chapitre 1   Lune T2/Chapitre 1 EmptyLun 7 Juil - 11:57

Ô super, toutes mes félicitation pour ton bac ma petite Bo  You are the best 
Promis je viendrai lire le début de ton tome II ce soir après le travail.
Contente, vraiment, de te lire à nouveau  cheers 
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MessageSujet: Re: Lune T2/Chapitre 1   Lune T2/Chapitre 1 EmptyLun 7 Juil - 21:32

Excellent ma petite Bo ! De suite on est happé au cœur de ton histoire bien ficelée avec des personnages que l'on a la joie de retrouver. En avant l'aventure, oui j'attends la suite bien sûr!
 J\'aime ! 
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quelemondeestbeau
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MessageSujet: Re: Lune T2/Chapitre 1   Lune T2/Chapitre 1 EmptyLun 7 Juil - 21:38

Contente de lire un avis aussi positif de ta part ! Personnellement, j'ai l'impression que mon écriture a mûri et, par rapport à Lune T1, l'histoire sera plus intéressante avec plus de rebondissements et d'intrigues; Je poste bientôt la suite Smile
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MessageSujet: Re: Lune T2/Chapitre 1   Lune T2/Chapitre 1 EmptyLun 7 Juil - 21:48

Oui effectivement j'ai omis de le mentionner dans mon commentaire ton écriture a bel et bien mûri, tu es sur la bonne voie, continue comme ça  Love ! 
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MessageSujet: Re: Lune T2/Chapitre 1   Lune T2/Chapitre 1 Empty

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