L’océan paraît si calme, si pacifique
Mais dans ses profondeurs abyssales
S’affrontent deux géants tectoniques
Habités d’une puissance phénoménale
Les flots se gonflent, se déchaînent
Semant la terreur, la mort et le chaos
Cheval en furie, sans guide et sans rênes
Qui se moque des cris et des sanglots
L’océan est calme et pacifique
Les titans s’accordent une trêve
Un oiseau pleure son chant pathétique
Sur une branche échouée sur la grève