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 Felicité, Chap II

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Amèll
Poète
Amèll

Messages : 12
Date d'inscription : 17/04/2011
Age : 27
Localisation : Mamers, France

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MessageSujet: Felicité, Chap II   Felicité, Chap II EmptySam 14 Mai - 15:25

Chapitre 2 :

‘Tu me manque’
Je reçu ce message sur le chemin du lycée le lendemain matin.
Je souris : il pensait à moi.
J’attendais à un croisement ma meilleure amie Sasha qui était en retard.
‘Toi aussi… <3’ répondis-je.
- Peut-on savoir qui c’est ? Me demanda une voix espiègle me faisant sursauter.
Je me retournai. Sasha se tenait derrière moi, souriante, ces grands yeux bleus remplis de malice.
- Hum, personne, dis-je à la vas vite. Sa va ?
Elle plissa les yeux, puis répondis :
- Eh bien oui très bien, sauf que…
Elle tripotait ces boucles rousses, signe de tension chez elle.
- Sauf que ?
Elle hésita.
- Sauf que je suis vraiment désolé mais voila, il fallait que je te le dise, j’ai vu Simon en train d’emballer une fille hier soir, je suis vraiment désolé tu sais, je ne sais pas qui c’était mais je crois vraiment que c’est un salaud pour te faire sa alors que tu l’aime encore, mais apparemment lui il ne t’aime plus, et... Arg! dit-elle d’une traite.
Je la regardai les yeux écarquillés.
- Oui je sais, c’est horrible, s’écria-t-elle, voyant ma tête stupéfaite. Et je veux que tu sache que…
- Mais c’est génial ! M’exclamais-je la coupant court.
Elle haussa un sourcil.
- Génial ? On parle de Simon la ! Ton petit-ami, le mec que t’aime, avec qui tu sors depuis deux ans.
Je pris mon téléphone.
‘Simon, faut que j’te parle’ écrivis-je.
- Youpi ! C’est la fête, je suis super contente, m’exclamais-je en dansant. Mais on va être en retard si on ne se dépêche pas d’y aller.
Mon téléphone vibra.
‘Qu’est-ce qu’y à BB ?’
- Il perd pas le nord celui la !
‘RDV à 10h devant la salle d’espgl’
Sasha ne comprenais rien du tout et ne faisait que de me questionner.
- Mais, je ne comprends pas… Tu ne l’aime plus Simon ?
- Non, en fait, depuis super longtemps.
Elle fronça les sourcils.
- Pourquoi tu ne m’as rien dit ? S’offusqua-t-elle.
- Parce que, je ne le savais pas vraiment moi-même, je n’étais pas sûre.
- Ouai, je trouve sa bizarre moi… Sa aurait pas un rapport avec le ‘Tu me manque’ ?
Je rougis, ne répondis pas.
- Oh ! Felicité ?!
- Si, lâchais-je.
- Ah ah ! Qui est-ce ?
- Un mec que j’ai rencontré hier soir, il s’appelle Boston, il est beau comme un Dieu et moi comme une conne, je crois que je suis tombée amoureuse de lui.
Nous arrivions au lycée et des élèves déferlaient autour de nous- tous des gosses de riches.
- Oh, mais sa change tout alors. Est-ce qu’il est brun ?
- Châtain clair plutôt. Pourquoi ?
Elle se rapprocha un peu plus de moi et me murmura :
- Parce qu’il y a un mec qui nous suit depuis un moment et qu’il fait que de te regarder.
- Hein quoi ? Où sa ? Dis-je en me retournant pour voir.
Sasha me tira le bras.
- Plus discrètement ! Siffla-t-elle.
Je me retournai quand même et en effet, sur le trottoir d’en face, parmi plein de lycéen fumant et causant, un homme se tenait.
- Euh, nan ce n’est pas Boston.
Nous nous regardions.
- On se tire ?
- On se tire ! confirmais-je, et nous nous mîmes à courir.
Nous arrivâmes essoufflées et morte de rire au milieu de la cour.
- Sérieux, il était flippant ce mec, rigolait Sasha. Le pire c’est qu’il faisait que de nous regarder, nous !
J’acquiesçai incapable de parler et de reprendre mon souffle comme elle.
- Oh oh…
- Qu’est-ce qu’y se passe ? Demandais-je, inquiéter par son ton.
- Simon à 14 heures.
- Pff…
En effet il approchait vers nous.
Lorsqu’il arriva à notre hauteur il voulut m’embrasser, mais je reculai.
- Salut ! lança-t-il joyeusement.
Je fis une grimace.
Il eu l’air surprit.
- Qu’est-ce qui se passe ? Qu’est-ce que tu voulais me dire ?
- Euh, bon je vous laisse hein. A tout à l’heure Tessie, dit Sasha avec un regard d’excuse.
Je la fusillai du regard.
- Alors ?
- Hum, eh bien, commençais-je.
Il me lança un regard, m’incitant à continuer sur ma lancée.
- Simon, je suis désolé, mais je ne t’aime plus, et toi non plus, alors, si on arrêtait de sortir ensemble et de se voiler la face ? Tu ne crois pas ?
Il écarquilla les yeux.
- Pardon ?! S’exclama-t-il.
- Tu à très bien compris, ne fais pas l’innocent, m’énervais-je. Je sais pour l’autre fille, qui qu’elle soit. Et moi je ne t’aime plus, j’en aime un autre. Je te quitte ! C’est plus compréhensif comme sa ?!
Et je le plantai la, au milieu de la cour, comme un con.
Je me dirigeai vers mon cours d’espagnol. La journée promettait d’être longue. Très longue, trop longue.
J’allais ouvrir la porte du bâtiment, mais quelqu’un me pris mon bras et me tira sur le côté pour ne pas être vu de tous le monde.
- Hé ! Mais qu’est-ce que…
- Chuuut !
Je regardais mon interlocuteur. C’était le mec de tout à l’heure.
- Mais lâchez-moi, vous me faîtes mal !
Il m’emmena encore un peu plus loin et enfin en s’assurant bien que je ne pouvais pas partir, il me rendit mon bras.
- Tu es bien Felicité, n’est-ce pas ?
J’acquiesçai.
- On m’a donné sa pour toi, dit-il en me tendant une enveloppe noire avec un tampon en cire gris.
Je pris l’enveloppe.
- Qui êtes-vous ? Demandais-je enfin.
- Personne d’important, juste un messager. Mais on m’appelle Tyler. Cette enveloppe est de la plus haute importance. Je te demande d’y faire très attention, et de ne la montrer à personne, absolument personne. Lorsque tu la liras, comprend bien chaque sens, un mot peut en cacher un autre et surtout, surtout, crois-y.
Et il tourna les talons.
- Attendez ! M’exclamais-je, ne comprenant rien.
Mais il ne se retourna pas et disparu.
- Eh merde ! Fulminais-je, moi-même étonné de la vigueur de mes paroles.
Maintenant, j’étais en retard.


***


J’avais tourné mille et un schémas dans ma tête, mais rien n’y faisait. Affalé sur mon lit que j’étais, un seul mot me venait à l’esprit en repensant à cette matinée : étrange.
Je tournais et retournais la lettre entre mes mains, me demandant bien ce qu’elle pouvait contenir. Il était maintenant minuit deux précisément, et je n’avais pas bougée depuis que j’étais rentré. Ma sœur ne m’avait pas embêtée, voyant bien l’humeur morose qui émanait de moi à des kilomètres à la ronde. Et quant à mes parents, rien n’avais spécialement été différent de d’habitude : ils n’avaient pas remarqué mon existence.
C’est à minuit deux que je pris mon portable et que j’envoyais un ‘Je t’aime, tu sais’ à Boston. Et à minuit trois que je reçu un ‘Oh, toi aussi ? Comme c’est bizarre, on ressent les mêmes choses…’ qui me donna le courage d’ouvrir cette enveloppe.
A priori, elle n’avait rien de spéciale, si ce n’est que sa couleur était légèrement glauque.
Je fis sauter le cachet… Et retourna tout simplement l’enveloppe sur le lit, y déversant son contenu.
Il y avait deux papiers différents. Un noir, comme l’enveloppe et un rose pétard.
Je décidai de commencer par ce dernier, qui me semblait plus accueillant.
Je le dépliai et lue.

Felicité,
Je suppose fortement que tu à commencer par lire cette lettre-ci plutôt que l’autre. Donc, bonsoir à toi. Je sais que tu te demande qu’est-ce que c’est que tout sa, et à ta place, je me serais dit la même chose. Tu dois aussi te demander qui je suis. Mais sa, ce n’est pas spécifiquement important. A l’heure ou tu lis ça, Tyler doit être dans de très gros ennuies, mais bon, il savait ce qu’il risquait à t’aborder. Si je te dis qu’il risque fortement de mourir juste pour t’avoir adressé la parole, tu va avoir peur (si ce n’est déjà le cas), donc je vais éviter. Felicité, tu es spéciale, très spéciale. Tu à été choisie parmi des centaines de filles de ton âge pour exécuter une mission spéciale. Je ne te dis pas sa pour que tu te sentes supérieure, mais c’est tout de même un privilège de faire ce que tu vas devoir faire. Je fais partie d’une section spéciale, qui à le permis de tuer, un peu comme les services secrets. Cependant, il y à une seule personne que nous n’avons pas le droit de tuer : un homme d’affaire, extrêmement connue qui se nomme Alexandre Nomard, et qui se trouve être le créateur de notre section spéciale. Comme tu dois t’en douter, ce que je vais te demander ne sera pas de tout repos. Je suis désolé de te demander pareil chose, mais tu es la seule qui puisse nous libéré de l’emprise de cet homme impitoyable. Si tu à peur, et que tu ne veux pas exécuter cette mission, ne lis pas l’autre lettre et remet cette enveloppe dans ta boîte aux lettres.
’’

Je la relis deux fois pour être sur que je ne rêvais pas.
- Qu’est-ce que c’est que ce bordel ? Murmurais-je.
Malgré les recommandations de mon expéditeur, je pris la deuxième lettre. Lorsque je la dépliai, deux photos s’en échappèrent. C’était un homme, de face et de profil. Intrigué j’entamai la lecture.

Si tu lis sa, c’est que tu à choisie. Tu ne peux plus revenir en arrière maintenant, à moins d’être atteinte de la maladie d’Alzheimer ou de n’avoir aucune conscience. Moi et mes collègue de l’Unité Spéciale, nous contons sur toi pour nous faire sortir de la. Nous sommes obligés malgré nous, de tuer des innocents. Si nous ne le faisons pas, il nous tue. Comprend bien, que le devoir que je te donne est une énorme responsabilité, et que tu peux aller en prison pour nous avoir aidés. Ce que nous te demandons, c’est de mettre Alexandre Nomard (voir photos ci-jointe) hors d’état de nuire.
Tu peux le faire de toutes les façons possible : l’accusé d’un crime qu’il n’as pas commis, à condition d’avoir toutes les cartes en mains, le faire chanter, ou tout simplement le tuer.
Même si je sais que cette dernière solution peut-être dur pour toi, je pense que c’est la meilleure pour nous.
Si tu à lu sa et que tu accepte, remet simplement cette lettre dans ta boîte. Je suis désolé de te contacter comme sa, mais je n’ai aucun autre moyen. Je t’enverrais une autre enveloppe très vite avec les premières indications. Nous espérons tous en toi.

P.S : Si tu en parle à qui que se soit, cette personne sera autant impliqué que toi dans cette histoire, et devra être de toute confiance.
’’

Je fermai les yeux, et éclatai en sanglots. C’était trop.
Je restai la un moment tellement long que je m’endormis. Mais je me réveillai bien avant que mon réveil ne sonne, m’imposant enfin de regarder la dure réalité en face.
Je devais tuer un homme que je ne connaissais même pas. J’aurais très bien pu ne pas croire en tout sa, sa aurait très bien pu être une farce, mais j’y croyais. Quelque chose me faisait penser que ce n’était pas une blague, que c’était sérieux… Malheureusement.
Réveiller pour réveiller je pris la lettre noire et la lettre rose puis descendît silencieusement les escaliers pour ne pas réveiller Lili. J’allai au bout du couloir et monta les escaliers menant au quartier paternel. Je rentrai discrètement dans son bureau et laissa la porte entrouverte. J’allumai la photocopieuse qui faillit me faire une crise cardiaque par son bruit incroyable. Je mis la première lettre, la rose, et fît démarrer le processus de photocopie. Je jetai sans cesse des regards vers le couloir. Je mis la deuxième lettre. Je ramassai les deux photocopies.
- Puis-je savoir ce que vous faites ici jeune fille ? Me demanda une voix glaciale.
Je me retournai. C’était le majordome.
- Je ne fais rien qui me soit interdit Félix. A ton avis, à quoi sers une photocopieuse ?
Il me lança un regard désinvolte et je passai à côté de lui en l’ignorant royalement.
- Je crois que vous avez oubliée sa, Mademoiselle.
Je me figeai. Il tenait le papier rose, qu’il commençait à déplier pour le lire.
- Donne moi sa ! Hurlais-je en courant vers lui.
Il m’esquiva et commença à lire ma lettre.
- Espèce de bon à rien, donne-moi cette lettre tout de suite !
- Je ne vois pas de raison de hurler ainsi Miss. Si vous n’avez rien à cacher, je peux lire ceci en toute tranquillité.
Je pris une profonde inspiration pour me calmer, et alors qu’il allait recommencer à lire je lui lança :
- Sache que Papa aura vent de cette affaire. Que j’ai des choses à cacher ou non, ceci est personnelle et ce serait fort dommage pour toi de te retrouver au chômage.
Il écarquilla les yeux.
- Vous n’en valez pas la peine, dit-il en passant à côté de moi me jetant ma lettre.
- Espèce de… fulminais-je.
Je retournai dans ma chambre de mauvaise humeur. Je me demandais bien qu’est-ce qu’il fichait la à quatre heures du matin.
Je remis les lettres dans l’enveloppe et scotchais les photocopies sous un tiroir de mon bureau.
Je n’avais pas spécialement pris de décision mais tout ce qui pouvait me sortir de ma monotonie était chose bienvenue.
Je m’allongeai sur mon lit, en me demandant bien qui était celui qui avait cru que j’allais pouvoir l’aider.
Je ne savais rien de plus que les autres sur des sujets comme le meurtre, l’obligation de taches indésirables… Je ne comprenais pas pourquoi moi, et pas quelqu’un d’autre.
- Un grand honneur, tu parle ! Marmonnais-je.
Il fallait que je réfléchisse, il le fallait absolument. Je ne comprenais pas tout, du tout.
Résigné, je me levai en soupirant. Je me dirigeai vers la salle de bain, une douche tonique me ferait du bien. Je retirais mes vêtements, lorsque mon portable sonna. Je décrochai.
- Oui ?
Il y eu un silence au bout de la ligne, mais il y avait des éclats de voix derrière.
- Allô ?
- Hum... Euh, Faut que je te parle Lilicé…
- Qu’est-ce que tu veux ?! Aboyais-je, reconnaissant là Simon.
- Calmos hein ! Je veux juste m’expliquer… Sur la fille.
- Oh, mais merde quoi ! Hurlais-je. Tu me soule, ferme ta grande gueule au moins une fois dans ta vie OK ?!!
- Mais Lilicé…
- Oh, et puis tant qu’on y est, je déteste qu’on m’appelle comme sa ! Tous ceux qui m’appelais comme sa me déteste, et tu en fais partie, alors ta gueule !
- Ecoute-moi, s’il te plait… implorait-il pitoyablement.
- Je-ne-t’aime-plus-est-ce-que-tu-comprend ! Dis-je en articulant bien chaque mot, comme si il était demeuré.
- … Mais moi je t’aime encore ! L’autre c’était juste parce que… Parce que tu voulais pas que je te fasse des trucs !
Je restai un instant ébahis devant cette réponse, mais repris contenance, et d’une voix que je voulais la plus froide possible, lui répondis :
- Eh bien, tant mieux pour toi ! Allez, ciao, j’ai autre chose à faire que de perdre mon temps avec toi, je dois allée voir mon petit-ami.
J’insistai bien sur le dernier mot.
- Oh, et à l’avenir, tu peux supprimer mon numéro.
Et je raccrochai.
J’étais fière de ma répartie, bien qu’un peu gêner par autant de mots ‘fort peu polis’, mais je me dis qu’il faudrait bien que je me décoince un peu les fesses un jour. Même si avec les principes avec lesquels j’avais été élevée, cela serais compliqués.
Je rentrai dans la douche et mis l’eau brulante.
De toute manière j’avais très envie de voir Boston, alors peut-être que j’irais vraiment le voir (bien que ce ne fût pas mon petit-ami).
Je sortis de la salle d’eau et dans ma chambre, enfilai un jean et un débardeur. Je rassemblais mes cheveux humides en une queue de cheval et enfilais mes converses à talons.
Je pris l’enveloppe, mon manteau et sortit dans l’air chaud de ce mois de Juin.
J’abandonnai l’enveloppe dans la boîte aux lettres, en espérant qu’elle serait récupérer avant que le facteur ne passe, et enfin sortis de la propriété.
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féfée
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MessageSujet: Re: Felicité, Chap II   Felicité, Chap II EmptySam 14 Mai - 19:39

Super ! j'attends la suite... J\'aime ! Sourire fleur
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Damona Morrigan
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Damona Morrigan

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MessageSujet: Re: Felicité, Chap II   Felicité, Chap II EmptyLun 16 Mai - 9:59

Génial, moi aussi j'attends. (Au passage va dans la rubrique "poème" il y en a un à ton nom "Amell").
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Amèll
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Amèll

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MessageSujet: Re: Felicité, Chap II   Felicité, Chap II EmptyLun 16 Mai - 21:57

Je poste la suite dès que possible, de façon à ne pas vous décevoir, même si le timing est serré entre les cours et mon anniv récent, j'avance un peu plus chaque jours ^^. ♥
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Damona Morrigan
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Damona Morrigan

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MessageSujet: Re: Felicité, Chap II   Felicité, Chap II EmptyMar 17 Mai - 10:59

Rien ne presse Améll, j'ai aussi du mal à suivre en ce moment par manque de temps, mais suis certaine que je viendrai te lire.
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Serial Trublion
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MessageSujet: Re: Felicité, Chap II   Felicité, Chap II EmptyMar 17 Mai - 11:03

Très captivant, belle trouvaille! Cependant mon plaisir est quelque peu gâché
par des fautes(basiques) d'orthographe, n'hésite pas à utiliser le correcteur orthographique inclus dans la plupart des traitements de texte.


:3829:
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MessageSujet: Re: Felicité, Chap II   Felicité, Chap II Empty

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Felicité, Chap II

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