Rester là, à faire la planche, pas d’apnée, juste immerger les mauvaises années, ça en faits pas mal à geler, des centaines de Titanic échoués mais cette fois pas naufragés d’une âme égarée, fusée éclairante ou étoile filante au ralentie, beauté guerrière d’une journée à l’erre éphémère d’une paix simplifiée, peau d’âne effarée, en fait putain d’épreuve ne saurais y arriver alors coupons court au bouillon, je tend la main mais prend des coup de points, d’interrogations, joie inventée pour une personne exceptionnelle, les mensonges du cœur peuvent êtres de toutes beautés, ouais maintenant vais bâcler se mauvais songe qui me ronge, ce dont je ne suis pas fais, les mots roses, les maux roses ouais, désolé c’est Atypique à en pleurer, bouffer sa langue pour ne pas hurler, se mordre les poings pour ne pas t‘égorger !Voyages immobiles, fusiller ses mots qu’on ne peut dire, On est un con ! mais y’a que lui qui ne le sait pas, se punir, se trahir, s’exécuter, en temps cyber réel, s’être cruel, kidnappeur de vérités pour ne pas noyer la ligne de flottaison, à quoi bon la raison qui engraisse la défleuraison, amours en sachet plastique à usages uniques, sentiments éclectiques, sous la douche en paniques, quand t’attends la mousson, y’en faut de la dérision, crépuscule lunaire, sur un autre hémisphère cervicale, dans ses draps sanctuaire, l’amour est cérébrale, la pluie sous la pleine, s’écoule comme de multiples veines, au torrent amont du fiel, c’est quand tu atteint la cime que la foudre récupère sa dîme, caresses inutiles, séduction impossible, quand trop vouloir la solitude vous mène à sa fortune, insalubre, mis en quarantaine par une franchise très fidèle, quand la passion impose de t’enfoncer tout en proses, ou se trouve la limite..?! De vengeance à engeance, pleure ta descendance, ne se fera violence en abus de confiance, épreuve de style imposée même, en ces bas fonds se traîne, car quelle que soit l’émo, ils finiront à l’échafaud.