J’avais fait un rêve fou, un rêve irréel comme ils le sont tous.
Il parlait d’amour qui rime avec toujours.
Un rêve qui ne devait pas me faire pleurais, mais simplement rêver.
Un rêve sur le net, pas vraiment net.
Juste écris des bouts des mains, pour ne pas y mettre le mot fin.
Un qui nous fait du bien, sans penser à demain.
Mais ou avais je la tête vouloir tutoyer le bonheur.
Sans un tête à tête avec l’enfer quel leurre.
De vouloir jouer avec les interdis.
Et se dire que tout est permis
A la queue du diable dire oui.
Ça ne conduit jamais au paradis.
Le rêve ne se fait pas cauchemar.
Il a juste l’odeur de l’au revoir.
Une douce odeur de soufre.
Echapper de ce cœur que souffre.
D’avoir voulu s’enflammé.
Dans l’irréalité.
Nage, 16.09.11.