J'ai toujours eu ce travers...et ma foi je suis incorrigible !
Il faut juste veiller à ne pas être envahissant, et à ne pas couper l'herbe de la volonté d'agir à autrui. Mais si le don rassure, permet à l'autre de ne pas se sentir seul, peut être pour lui comme un tremplin, alors il ne faut pas hésiter, sans compter le nombre de fois où l'on soutient.
(on peut toujours donner, même sans être riche - matériellement. Je dirais même qu'il ne faut pas attendre d'être riche pour donner)
(désolée pour le verbe falloir, je ne sais pas par quoi le remplacer)