Un matin j’ai décidé de sourire,
De monter au grenier mes souvenirs,
De cacheter mon passé à la cire,
Mes fenêtres et mon cœur de les ouvrir !
Mon rétroviseur n’pouvait que mentir
Me retenir jusqu’à vomir, mourir…
Puis j’ai vu refleurir quelques désirs,
Quelques envies, un p’tit coin d’avenir…
Larmes glissant sur mes joues : des saphirs !
Arrêter le temps mais ne plus partir
Ne plus chercher ailleurs pour un empire !