Nous nous sommes réveillés en sueur, cote à cote, dans cette nuit lourde et moite. Cet été est particulièrement chaud, une douche nous ferait le plus grand bien. Nus, nous nous levons pour regagner la salle de bain. J’adore voir ces seins lourds tombés sur son corps, elle à des seins avec des grosses aréoles avec des tétons durs, couleur pourpre, mais ce que je préfère chez Léa ce sont ces fesses, bien dessinées, bombées, sa croupe m’excite au plus haut point, je m’imagine déjà tout ce que je pourrais lui faire.
Elle me regarde de ses yeux coquins devinant mes pensées, elle me prend par la main, m’attire jusqu’à la baignoire. j’ouvre le robinet d’eau froide, et nous voilà sous le jet d’eau.
Je lui lave, les cheveux, long brun, je la caresse avec le gel douche, d’abord son cou, sa nuque dégagée, ses épaules douces, arrondies, ses seins pulpeux, ses tétons durcissant de plus belle. Je sens son souffle haleter tandis que je descends sur son ventre et sur l’aine.
Léa , m’arrête, prend le gel douche, et me lave à son tour.
Je me retourne, mon corps excité lui tournant le dos, elle me lave mes cheveux que j’ai bien plus long que les siens, blond, et bouclées. Je sais que ce qu’elle préfère chez moi ce sont mes boucles qu’elles m’envient. Elle descend le long de mon dos, de ma taille fine, pour s’attarder sur mes fesses, ses mains tremblantes passent sur mon ventre, pour s’enfouir sur mon sexe nu de pilosité. De ses doigts fins, elle écarte délicatement mes lèvres à la recherche de mon clitoris. Je gémie, je mouille, je me touche les seins, bascule ma tête en arrière tentant d’avoir un contact langoureux à la recherche de ses lèvres délicates .Léa se rapproche, nos salives se mélangent, je virevolte pour pouvoir la caresser, la toucher, sentir son corps au plus prés du mien, pour frotter nos sexes doux l’un contre l’autre. Je lui attrape les fesses avec vigueur, elle se laisse faire,d’une main j’écarte une de ses fesse, à l’aide de mon majeur je me fraye un chemin , je le trouve enfin son anus. J’enfonce doucement mon doigt dans ce lieu interdit, je le ressort puis recommence, Léa émet de petits cris dans le creux de mon oreille, je sens son corps de détendre, sa petite fleur elle aussi me donne l’autorisation d’aller plus loin.
Un bruit retentit, me faisant sursauter, et par la même occasion me sorti de mon rêve érotique.
Déçue, frustrée, je regarde par dessus mon épaule, et je vois mon mari. Ce dernier, à dû ressentir mon rêve, ou les petits gémissements émis par moi même, car il était entrain de se masturber en me regardant, c’est lui qui me caressait les cheveux.
Je décide alors de profiter de la situation. Lui aussi d’ailleurs.
Je me retourne, il me prend en son bras, sa main repose sur mon sein, de l’autre, il maintien son sexe, dur. Il me susurre, touche toi, je veux te voir te donner du plaisir. Je glisse ma main droite entre mes cuisses. Je me frotte le clito, je lui dit que je vais avoir besoin de plus, que j’ai envie de le sentir en moi. A peine ma phrase finie, il est sur moi, j’aime son corps viril, légèrement musclé mais puissant, j’aime savoir qu’il a toujours envie de me faire l’amour.
J’ai envie de te manger, il me remonte mes jambes sur ma poitrine, s’agenouille et commence à me lécher le minou, des grands coups de langue, puis s'arrête net sur mon bouton à orgasme et s’amuse avec. Je pousse de petits cris de plaisir, mon bassin s’active comme s’il cherchait le sexe, je ne contrôle plus rien, j’ai besoin de le sentir rentrer en moi. Il connaît les réactions de mon corps sous extase, alors, pour me sustenter, il enfonce un doigt dans mon vagin, déjà bien humide de mon précédent rêve, puis deux.
A chaque instant de mon existence je sais que c’est l’homme de ma vie, mais lorsqu’il me fait l’amour, je suis persuadée que mon corps , ne pourrait accepter autre corps que le sien, et tout comme mon vagin à été fait que pour accueillir son sexe.
Je sens entre mes cuisses, que mon Homme ne tiens plus,il me regarde de ses yeux interrogateurs, je lui répond avec ma langue, je veux un baiser de lui, mais aussi un peu de moi. Mon Homme remonte vers ma bouche, tout en me léchant, me bisouillant le ventre, s’attarde au creux de mes hanches, tandis que de mes mains, j'attends de pouvoir lui choper les fesses, puis de les contournées afin, de me saisir de son jouet sexuel. Mon bassin ondule, je ressens toute sorte de sensation, ma peau est en ébullition, mes gestes, mon souffle, ce font de plus en plus rapide, il me le faut! Mon sexe à l’impression d’être vide, il faut qu’il me remplisse, il me faut cet orgasme. Mais il connaît tellement bien ma façon de faire, ou plutôt ma façon ne plus rien contrôler, qu’il s’amuse, qu’il me fait languir, cette pénétration que je patiente. Il saisi son organe, le fait entrer doucement dans mon vagin, centimètre par centimètre, me maintenant le bassin d’une main forte. Il se joue de moi, je ne peux pas bouger, il gère la pénétration, mon corps devient fou, et il aime çà, me voir devenir folle d’excitation pour lui, pour sa queue. Après quelque va et vient, de quelques centimètre, il s’engouffre enfin en moi, mon plaisir est tel, que je pousse un cri puis à chaque respiration je gémie, mon corps se détend, enfin, comblé de me sentir envahit par lui. Lui aussi émet de petit cri, il m’embrasse, me lèche la bouche , le cou , les épaules, les seins. Ma langue cherche la sienne, une fois trouvée, il m’en faut encore plus. A l’aide de mes jambes, et de toute l'impulsion de mes membres, je le fait basculer, me voilà sur lui. C’est moi, qui vait mener la danse de l’orgasme, je lui fait un suçon, je lui mordille le cou, puis ses pectoraux, ses tétons, malgré sa désapprobation. Mes mains lui malaxe les flans, je me dégage de son sexe, je lui lèche le ventre, puis l’aine, il gémit, ses yeux me supplient de poursuivre plus bas. Mais je suis bien décidée à m’amuser moi aussi. De ses mains ils poussent mes épaules pour que je descende encore, mais je stoppe sur ces couilles, les caresse lentement, puis les saisies fermement mais tendrement, je les prends en bouge, puis les lèches de leurs naissance jusqu’au pénis. Je recommence d’un peu plus bas, ses cuisses s’écartent, à ma grande surprise, je poursuis donc, cherchant encore plus bas, laissant dévoiler son anus, que j’embrasse pour la première fois. çà m'excite, lui aussi excité mais gêné je remonte donc lentement sur mon jouet préféré, en un seul coup de langue je regagne son majestueux gland que j’engouffre dans ma bouche. Je l’entend gémir, je gémie aussi, intérieurement, il se durcit en moi, je presse mes lèvres contre son sexe, il s’enfonce dans ma gorge, puis je remonte, cherchant ma respiration. Il me caresse, me saisit avec force, contrôlant au mieux son éjaculation, il me demande “approche tes fesses” d’une voix essoufflée, je m'exécute, ma croupe se cambre telle une chienne en chaleur, il enfouit ces doigts au plus profond avec son pouce il me sodomise, je n’en peux plus je ne tiens plus, lui non plus, notre respiration est plus qu’haletante, nos coeurs vont lâcher, je m’active sur sa queue, lui faisant des mouvements de va et vient de plus en plus rapide, une de mes mains saisissants ces bourses, lui faisant de même; ces doigts sont plus nombreux, mon bassin exécute des va et vient incontrôlé.
Il crie “je viens”, “je t’aime”, je le sens jouir dans ma bouche, je viens moi aussi, ces doigts s’activent sur mon clitoris. Je jouie, je crie, je crie plusieurs fois, je m’écroule.
Extase, épuisement , souffle court.
Après quelques instants, j’attrape les clopes. On se lève, et on fini sous la douche.