Un cadeau imparfait...


Je suis parfois désespérer.
Devant cette culpabilité.
De leurs avoir léguer.
Cette handicape non désirer.
Un français particulier.
Qui m’a si souvent fait pleurais.
Un cadeau empoisonné.
A l’école en rouge souligner.
Mais je dois bien avouer.
De les voir évoluer.
Dans ce monde déboussoler.
Avec leurs folies décaler.
Leurs visions qui font rêver.
Me remplit de fierté.
Pour rien au monde je voudrais les changer.
Un enfant dit « parfait » ne me fait pas rêver.