Quand s’arrêtent tes baisers,
c’est, toujours, le Temps brisé,
et quand cessent tes caresses,
c’est, toujours, le Temps-détresse.
O mon doux matin de mai,
quand tu as ta jupe grise,
quelque mot que je te dise,
c’est, toujours, le verbe aimer.
extrait d'Un Fleuve de Lumière/Nancy/1982
avec un portrait de l'auteur par Claudette Méline