Si la vie est un ange déchu, l’amour un chien de l’enfer, la mort sur ordonnance, l’âme un boulet de ressentiments, le cœur une tumeur, mes yeux des persiennes; qu’en est-il de toi de moi de l’émoi des pourquoi ,de l’humanité, de la paix, de notre reflet, des sourires après des je t’aime passé présent no futur incertain, câlins sur des bancs, lieus rêvés .Que reste-il des plaisir, des sourires, de ces inconnu vu revu toujours perdus, chute de reins chute de saints… vite vite je glisse.!!!Qu’en est-il des utopistes, des fleurs, des douleurs qui vous réveillent le cœur, des chats rrr meurs, du labeur, des bonnes odeurs, des humeurs, des femmes enfants pas un mots toujours au culot, des arbres, de nos poumons, de la tête a toto, de tes gigolos, de mon numéro de rigolo .Que reste-t-il de la solitude cette plénitude, des jours de tunes devenu une habitude, du manque de rien, des <<ça va bien>>, du chagrin mon ami nain, de tout ces chemins qui parfois ne mènent a rien, de tes mains, des jours sans faim, de la beauté du matin, .Quand reviendrons les alluvions, mes illusions, les papillons, les mort aux cons, le fond du fond, ces regard qui en disent longs, les petits mignons, les minis jupes, les bars a putes, les allusions a ceux qui luttes, la grande maison éponyme de la grande nation anonyme, marginaux, gardien du troupeau, politique religieuse, dynamique vicieuse, branle bas d’étalage de sentiments, on navigue dans le néant, feu follet éphémère sur un sentier de la guerre, lasse, tuer le temps, lampadaire dans le noir, triste lueur de manque d’espoir, égarement se mélangeant, porte ta croix je te donnerais la mienne, augure d’augure taille moi la veine aspire la haine.
Je te frôle tu m’inonde, tombes amoureuse et je m’arrache, pas d’amitié pas de manque a gagner.Même si je ne suis pas sur de moi, je peux toujours avoir confiance… c’est le minimum, étiquette pirouette, tous dans la même caissette: tous des cons, toutes des putes, on repars a la lutte, libre arbitre, libre arbitre ?!? Juliette était-elle vraiment fidèle? et qui nous dis que Roméo ne c’est pas fais buter pour une histoire de biz, j’dirais plus « j’crois plus en l’amour », j’crois plus en rien, toujours ce même refrain, c’est une réalité pas besoin de la rabacher, désabusé, sincère amitié mon camarade, au diable les rêves, les trêves, la bohême et la joie de vivre de rire et d’aimer, les bonnes manières, les airs sincère, les fesses a l’air, les petites galères, les fuck off parce que trop fier, les frères misère, les terre a terre, ton univers, le numéro complémentaire, les âmes sœurs, le vrai bonheur, les peines de cœur, la bonne humeur, d’une femme la douceur, la tendresse, sur ma peau les caresses, la rondeur de tes fesses et des cons l’allégresse.