Postée aux portes de l’hiver
A la recherche d’offrandes, elle aguiche les passants
Sa beauté et ses charmes ne les laissent pas de pierre.
Déjà les arbres lui jettent leurs feuilles par cents
Elle a séduit l’été, lui a volé son or
Ses habits revêtus, sa robe est étincelle.
Elle exhibe impudique, son sein et ses trésors
Et nous voilà ravis, amoureux de la belle.