Un souffle... peut-être !
Le vent est l’âme qui entaille l’eau douce des tourments,
il fait chanter les pierres suspendues aux doigts déliés des pommiers d’amour.
Valse l’ancien aux parfums bouchonnés ; tout redevient mobile et fou !
Les reliques emportées perdent leur vernis et leurs souvenirs flottés échouent sur nos pages vierges.
Nos empreintes dégriffent les galons d’amertume et sur le velouté de nos déraisons
tracent des signes – des graphies trop proches des étoiles… du vélin elles s’évaporent.