Il sortira bientôt... l'éditeur en est aux dernières retouches, et puis la maquette partira chez l'imprimeur !

Voici ce qu'en dit l'éditeur :

http://filosphere.free.fr/2/crbst_11.html

Et voici le texte de quatrième de couverture :


Les graphies se promènent dans l’espace environnant et le poète les cueille avec une patience infinie. Les mots glissent, se tendent vers lui, portés par les murmures du vent et les ailes du silence. Ces mots, l’auteure les a rassemblés ici en une collection de sensations où la beauté enlace la tristesse et la joie, où le rire panse le cri. L’oiseau plonge l’alchimie de son chant jusqu’au noyau du vivre.

Carmen Pennarun vit en Bretagne. « L’oiseau ivre de vent » est son deuxième recueil de poésie, elle a déjà publié un premier recueil : « Murmures à la fontaine » il y a deux ans, et un roman jeunes lecteurs :
« Rayon de Lune».
Passionnée de mots et d’Arts plastiques elle participe à de nombreux ateliers et expose régulièrement. Ses nouvelles, ses histoires pour enfants et ses poèmes, elle les fait vivre en les partageant lors de rencontres de lecture dans les médiathèques ou dans les classes mais aussi lors d’échanges virtuels sur des sites d’écriture.

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(C'est entre autre à cause de ce recueil et d'un autre projet venu se greffer sur un emploi du temps déjà chargé que je me fais plus rare parmi vous... mais je ne vous abandonne pas !)

Félicitations Dame Demeter et merci de nous offir ce partage ici.

Comme je suis contente pour toi, excellente nouvelle et toutes mes félicitations ! Bravo !!!

Merci Lutèce. Merci Damona.

Voici le préambule de ce recueil. Un ami l'a rédigé après lecture du projet initial. Cet ami aura été le premier lecteur de ce recueil, avant mon éditeur.

Préface du recueil "L'oiseau ivre de vent"


Quand Carmen m'a ouvert la porte de ce recueil, parmi les mots, je me suis mis à chercher une clé, un mot. Celui qui m'aiderait à entrouvrir son monde poétique et serait dans sa déclinaison, en quelque sorte, mon fil d'Ariane.
J'ai trouvé « SERPENTINE ».
La serpentine est une concrétion de sels qui se forme, souvent longiligne, dans les failles où pénètre l'eau jusqu'aux grandes profondeurs. Ses couleurs vont du blanc au bleu, au jaune et au vert, au brun et au noir. Toutes déjà dans l'image de Murmures à la fontaine.
Elle est aussi translucide, légère, tendre et infusible...
Suivez-moi, je vous emmène sur le chemin de ses sinuosités.
Ici, « enfant », elle « chantourne le vide » laissé par les brisures de la vie, par les FAILLES ouvertes des rêves perdus et éperdus d'éternité.
L'EAU salée des larmes et de la mer, -de la mer et de l'amer-, l'eau froide des ruisseaux clairs, l'eau noire des puits et des souffrances, l'eau goutte de pluie et de rosée,-cadeaux des jours sans fard-, nourrit la poésie serpentine, cristaux de mots dont l'oeil de L'oiseau ivre de vent a perçu le filon souterrain, explorant la fente entre les jours roches pétrifiés d'ordinaire.
BLANCS les nuages purs, la lune éblouie, BLEUS les orages, les ciels et les campanules, d'OR les fleurs, le soleil et le sable des grèves, VERTS les arbres et l'herbe, BRUNES les branches nues craquant sous les pieds et l'amertume des mères oubliées, NOIRES les nuits en patience d'aube et la nuit désamour, NOIR l'onyx.
La serpentine encore, touche TRANSLUCIDE d'aquarelle, LEGERE comme un froissement d'ailes suggérant le vol et l'écho des joies, des peines, TENDRE comme cœur aux aguets de sa plénitude, INFUSIBLE aux émotions à fleur de peau, à fleur de veille.
Serpentine donc, femme et mère, mais toujours en quête de la liberté, de la pureté du regard d'un enfant, elle sait ici « irriguer d'aquarelle le fragile écho de son rêve infécond », faille perceptible de la vie, et semer, petit Poucet, son cheminement de cristaux limpides.

Gérard H.

Merci pour tes précisions. J'espère que tu nous feras connaître la date à laquelle nous pourrons nous procurer ton ouvrage. Le préambule de ton ami me donne vraiment envie de lire la suite.

Magnifique, mes félicitations, je suis très heureuse pour toi !

Excellent tiens nous au courant je suis impatiente de le lire

Ah la la... qu'est-ce que je suis impatiente... à tel point que je n'écris plus de poème.

Zut, j'avais oublié que je vous avais déjà livré la préface. Il va falloir que je demande à Damona de la supprimer en poésie.
Je suis aussi heureuse de la préface que de mes poèmes et de mes croquis !


Mes livres, tant attendus, sont arrivés aujourd'hui ; quatre cartons emplis de mes trésors !

Je suis fière d'eux, les mots et les croquis de ce recueil de poésie forment un tout clair et agréable à lire.

Quelques photos !

Je serais très interessée par l'acquisition de ce livre et te remercie de me faire connaître les modalités de commande, si par hasard
il est en vente dans une librairie strasbourgeoise ou uniquement par internet. Bravo encore pour ce reueil que j'ai hâte de dédouvrir.

L'oiseau ivre de vent, je l'ai vu s'envoler dès les premiers mots que ta plume m'offrait. Au fur et à mesure la magie de tes mots faisait apparaître de si belles et douces visions que je me suis envolée à mon tour.
Merci beaucoup à Lutèce pour ce beau geste d'amitié et merci à toi, ma Dame Déméter pour ce voyage inoubliable au cœur de ta plume et de tes crayons.
Je vous embrasse toutes les deux.

Ne manquez pas de vous procurer ce recueil, il est magique !!!

Je suis heureuse que cette lecture t'ait plue, Damona.
Je remercie Lutèce qui t'a permis de lire ce recueil.

Ce genre d'éditon n'est pas la solution idéale, mais la personne qui m'a aidée à réaliser ce livre a fait du bon travail.

Pour se faire connaître il faudrait écrire dans des revues...

Voici l'article paru dans Ouest-France hier :

Excellent !!! Je viendrai te lire dès que j'aurai un peu plus de temps, promis.

L' article suivant montre bien comment je souhaite faire vivre la poésie. Le précédent est un coup de pub, qui est parfois nécessaire... que le correspondant O F a eu l'amabilité de rédiger. Nous avons parlé longtemps et j'imagine que ça n'a pas été évident pour lui de rassembler un maximum d'infos sur un article !

Je suis sincèrement heureuse pour toi. Je prends très souvent ton livre en main et je le feuillette m'arrête souvent au hasard sur un écrit et le déguste. Il y a un de tes poèmes que je ne me lasse pas de lire c'est "Dévisager le silence". Je ne saurais dire pourquoi je l'aime tout particulièrement.
Comme Damona, j'invite nos amis poètes à se procurer ton ouvrage.

Bravo, toutes mes félicitations

Merci Lutèce. J'ai mis un concentré de pensées dans ce poème. Les non-dits qui dans l'urgence du quotidien se noient... l'amour qui attend de se dire, et qui restera silencieux... les femmes, toutes les femmes, ma mère en particulier, même si ses souvenirs s'effacent... mais dans le creuset du temps, tous les gestes silencieux se fondent dans le même amour.

Merci Fred, mais je me sens toute petite devant les auteurs reconnus.

Les auteurs reconnus ont eux aussi été petits devant d'autres un jour

Bravo Déméter. J'avoue que je t'envie ce courage, car pour moi il en faut pour exposer ses écrits; grande joie que d'être lu, mais grand risque aussi . Moi je ne suis qu'une ombre cachée dans le masque de la baba et mes mots restent bien planqués au chaud sur la Toile , livrés seulement à votre regard amical...
Tes mots à toi sont lumière il est normal qu'ils se vivent ainsi au grand jour.
Encore bravo .

Merci à vous.
Je ne sais pas si je saurai être assez "combative" pour dépasser les obstacles.
J'ai déposé dans ma ville mon livre à la médiathèque, mais je n'ai pas eu de nouvelles...