L'azur du soleil devant moi s'étend sur l'asphalte.
De ma branche cassée, haut perché, je contemple
Ce que le cœur -étendue d'ennui- au sein du temple,
Peut encore surement m'offrir en régate...
En bas jonchent les beautés et les mortes
Indécis précis aux halos fiers !
Je suis sidéré par le nombre de portes
Qui à nouveau s'offrent à moi loin des pierres...
Je sombre dans l'harmonie profonde d'une voie
Où seuls les antiques mythes me renvoient.
Voie lactée, Andromede: Halos fiers et beaux.
Paisiblement, une étoile meurt sans souffrance.
Altaïr rit, Aquila soutient ce rire sans maux
Tandis que moi je m'enfonce dans les abysses de l'enfance.